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Prix
La Passe Du Vent
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Histoire d'un amour ou le roman de Pergaud
Dominique Gros
- Le vent qui passe
- 1 Février 2016
- 9782915374117
Le 8 avril 1915, mourait Louis Pergaud vraisemblablement sous le feu de l'artillerie française, alors que, blessé, il était recueilli par l'ennemi aux abords de Verdun. Il venait d'avoir trente-trois ans. Que sait-on de l'auteur de la très célèbre Guerre des boutons, prix Goncourt 1910 pour De Goupil à Margot, défenseur, bien avant l'heure, de la cause animale, et qui partagea avec son épouse Delphine une passion dévorante et salutaire De la vie de bohème de ses débuts à Paris, aux succès littéraires jusqu'à la mobilisation, le couple a vécu un amour sincère et profond.
On est bouleversé par la voix de Delphine qui nous conte ce grand amour éveillant en chacun de nous la puissance de sentiments universels.
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À l'aliénation, au sentiment d'étrangeté qui pétrifie l'individu, le perdant dans le temps, le noyant dans l'espace, Rousseau ne se contente pas d'opposer le déni mondain des procurateurs enveloppés dans une confortable robe de chambre. Il regimbe. Peste. S'insurge. Les doigts endoloris ou affligés d'onglée, grattant au carreau de Monquin, à celui des Charmettes, le givre d'une vie que d'ineptes conditions sociales exposent à toutes les intempéries, les plus triviales comme les plus hautement affectives. Ce qu'il pressent, du reste, ou dont il fait l'expérience, amère, douloureuse, ne concerne pas au premier chef l'inégalité, qui, tout intolérable qu'elle soit, n'est pas instigatrice. La propriété en revanche, et Jean-Jacques, délibérément, n'y accédera, fonde la dépossession, laquelle voue chacun à l'existence spectrale, des morts-vivants exclus de leur propre domaine : le monde, ce monde, invente la solitude.
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En quatre-vingt quatre photos en noir et blanc, Jean-Claude Seine nous (re)plonge dans ce prolétariat rêvé.
L'ouvrage reflète ce temps où le monde du travail primait sur celui de la famille et des loisirs, ce temps où la misère, l'épuisement et la précarité laissaient pourtant place à la volonté - toujours plus forte - de changer le monde.
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Le sang de l'aube est lavé au jet d'eau ; Les dents sont passées au crible ; La kératine s'entasse et se rétracte ; La mort fonctionne ; Si le soleil ni la mort ne se peuvent ; Regarder en face qui verra ; La mort de la mort ; Terre a perdu son genre grammatical ; Les pierres et les vers sont remontés ; A la surface se sont retournés ; Sont redescendus dans le royaume des racines doigts sucés écrasés.
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Vues de l'esprit ; entretiens et petits écrits
Annie Zadek
- La Passe Du Vent
- 14 Janvier 2009
- 9782845621428
Je pensais au film de Dreyer ; à la résurrection d'Inger ; à la modification d'Inger : la même et pas la même, pas transformée, pas différente, pas métamorphosée : modifiée ; à l'expérience hors du commun et en même temps intransmissible, à ce savoir très particulier et en même temps incommunicable des revenants et des rescapés (des faits, des pensées, des images, et aucun mot pour les exprimer ? Cette aporie sur laquelle tout bute : la poésie, l'art, le pardon, la consolation, la beauté) ; au rôle de l'écrivain comme médium " celui qui fait parler les morts " - et d'ailleurs qu'est-ce que c'est qu'être un écrivain sinon faire parler les morts.
" Portrait de l'artiste en médium ", médium attentionné de tous les morts mutiques, les disparus de l'Indicible, les déniés du " Plus-jamais-ça ! ", les pogromés, les négationnés, sans sépultures ni dernières paroles. C'est de ça que j'aurais voulu parler. De ce " ça " du " Plus jamais ça " Annie Zadek Izieu / Waldersbach.
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La petite fille aux allumettes ; Thérèse Raquin adaptées en pièces de théâtre
Hans Christian Andersen, Philippe Faure, Emile Zola
- La Passe Du Vent
- 15 Octobre 2008
- 9782845621411
L'OUVRAGE :Deux mondes aux mystérieuses correspondances. Quatre thèmes communs, quatre évidences.La notion d'hallucination. Dans Thérèse Raquin, une fois le meurtre de Camille commis, Laurent va constamment voir réapparaître son cadavre verdâtre. Dans La Petite Fille aux allumettes, chaque craquement, et donc chaque étincelle, vont donner lieu à une apparition illusoire. La solitude (la misère) sociale. Dans Thérèse Raquin, Thérèse et Mme Raquin ont une petite mercerie, dans une impasse pluvieuse. Tout cela ne respire pas le luxe, mais bien au contraire une précarité sociale. Dans La Petite Fille aux allumettes, évidemment celle-ci est obligée de vendre des allumettes à des clients indifférents pour d'une part, ne pas se faire battre par son père et d'autre part, gagner quelques sous pour se nourrir. Des êtres qui se consument. Thérèse est emportée dans l'ivresse de la passion physique et cette passion-là va la perdre, la consumer. Pour La Petite Fille aux allumettes, la métaphore est brutale puisque lorsque toutes les allumettes auront été consumées, elle sera morte. La fatalité du destin. Et Zola, et Andersen nous disent à leur manière qu'on n'échappe pas à son destin. Dès que Thérèse rencontre Laurent, son destin sera inéluctable et la pauvre petite fille aux allumettes si pauvre, si seule, mourra de cette pauvreté et de cette solitude.
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Dessine un paysage familier et délicat d'étreintes vécues, inavouées ou rêvées. De rires en émotions, de situations légères en pointes de gravité, Les Etreintes nous raconte pudiquement l'indicible de nos amours et de nos peurs.
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Poetes a lyon au 20eme siecle, anthologie et notes biographiques
Beghain Patrcie
- La Passe Du Vent
- 1 Mars 2017
- 9782845623033
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Les mots tombent sur la page d'encre en une fine pluie de paroles resserrées qui semblent traduire le plus ordinaire des jours.
Paysages urbains, instants fixés dans leur singularité, rêveries permises, ciels et sols mêlés, tout ici se reflète dans l'oeil aiguisé de la narratrice ou dans l'objectif, réservé, du photographe.
On ne touche pas, on effleure. On n'affirme pas, on suggère. Ce livre propose les choix poétiques de deux regards complices. La tendresse et la fragilité humaines sont, de nouveau, à l'ordre du jour.
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Ce livre d'entretiens est le parcours d'une vie, tout entière placée sous le signe de la passion pour l'art et la culture, quia trouvé une partie de son sens dans l'engagement public, mais qui a su préserver des jardins secrets et l'intimité d'un homme de conviction et de coeur.
Au moment où la france s'apprête à célébrer dans une certaine morosité le cinquantième anniversaire de la création du ministère des affaires culturelles, ce témoignage de vingt-cinq ans d'engagement au service de la culture, dans une période charnière pour les politiques culturelles publiques, se veut aussi un rappel et de l'esprit pionnier des années malraux et de la dynamique des années lang. une invitation aussi à l'audace et au renouveau.
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L'ouvrage :Huit nouvelles, huit tragédies intimes. Leur héros : un écrivain en galère, une infirmière fatiguée, un professeur, un vendeur en prime d'assurance, un routier... Les personnages d'Entre les rounds - dont les trajectoires se croisent au gré des grands espaces - ont besoin de faire une pause, de réfléchir à leur vie afin de reprendre en main le cours d'une existence qui leur échappe. Qu'elle se joue dans un motel minable, dans l'effervescence d'un supermarché une veille de fête ou, sous une tempête de neige dans le Wyoming, leur histoire ressemble à la nôtre...Ces voyages au bout de la solitude sont avant tout une variation sur le couple et l'amour, planche de salut et quête d'une impossible consolation.***Être un véritable écrivain, c'est être tenu par la passion d'écrire, avoir l'amour des mots, et le sens de la langue.C'est aussi avoir des choses à dire, le besoin de les dire, les moyens de les dire.C'est aussi également être armé de courage, ne pas redouter la solitude, travailler avec sérieux.Dan la mesure où Rodolphe Barry répond à ce que j'indique dans les lignes qui précèdent, j'ai la conviction qu'il est un véritable écrivain.Charles Juliet
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Tombeau de Joseph-Ferdinand Cheval : facteur à Hauterives
Lionel Bourg
- La Passe Du Vent
- 27 Mai 2019
- 9782845623415
Le Palais idéal n'est certes un labyrinthe qu'à l'exacte proportion des enfants que nous ne sommes plus. Il suffit d'assister au manège des gosses quand, la bride parentale un instant relâchée, ils prennent possession du domaine. Nul doute selon eux qu'il s'agit là d'une construction destinée à leurs jeux, et c'est je crois l'esprit conquis par d'ataviques rêveries qu'ils se faufilent, escaladent ou glissent, se dissimulent et réapparaissent sous un porche où personne ne les attendait plus. Château de la Belle au Bois dormant, manoir de l'Ogre ou citadelle digne des frères de la côte, Fort-Apache ou bastion médiéval qu'auraient retouché des prélats byzantins, le temps y est captif et dans sa rétention seuls les enfants semblent en posséder l'emploi, certainement parce qu'en l'état de moindre division qui est leur privilège, tout s'exaspère d'une immédiateté à laquelle ils sacrifient sans idée de retour, j'entends en oubliant d'emblée que cette durée n'existe qu'à l'ombre de sa propre réclusion. Bref, jeunes chamans qui invoqueraient les divinités de la glèbe, ils dansent pour mieux s'approprier le territoire...