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La Pionniere
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Julian Barnes nous donne ici à voir, avec sensibilité et parfois malice - et très loin des éloges souvent ambigus dont elle souffrit de son vivant -, l'oeuvre si personnelle de Mary Cassatt : peintre impressionniste, Américaine à Paris, indépendante, aisée, spirituelle, féministe... et amie d'un Degas moins misogyne qu'on pourrait le croire. Où l'on saisit aussi qu'à la fin du XIXe siècle, être femme et peintre était - pour celle qui se refusait farouchement à être mise en boîte - très loin d'être simple. Traduit de l'anglais par Jean-Pierre Aoustin.
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« Comment devenir William Kentridge » : si un tel titre ne se lit pas comme une question il ne s'entend pas pour autant comme celui d'un recueil de préceptes sur les créations foisonnantes de William Kentridge. Aucune leçon, ici, de la part de Gérard Macé. C'est bien, tout au contraire, en regard de cette oeuvre si singulière où se mêlent les ombres de Méliès, les échos d'une flûte enchantée, ceux d'une fanfare aux allures de danse macabre et les pas grotesques d'un roi nommé Ubu, une invitation à la liberté, au pas de côté, « à n'en faire qu'à sa tête et à voler de ses propres ailes ».
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Avec ce nouveau livre, Pulsions, accompagné d'un texte de Dominique Janvier, François Fontaine poursuit, après Icônes son précédent livre paru chez le même éditeur, son exploration du 7e art au moyen de photographies réalisées à partir de films projetés sur écran. Exploration du 7e art et exploration du désir et de sa mise en images vives ou troubles, lumineuses ou obscures, flamboyantes. François Fontaine met ainsi en lumières «le choc doux des corps, leurs jeux exaspérés» en empruntant pour que l'on s'y perde à loisir «le labyrinthe du désir».
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Fred Le Chevalier entreprend une relation privilégiée avec Paris. Il y vit, il y travaille et y colle ses personnages - mail il aime filer à Tokyo, Berlin, Londres, Bruxelles... A Paris, en mouvement permanent, ses personnages au graphisme épuré et si élégant accompagnent le promeneur. Le parisien croise alors ses personnages dans de petits passages, les angles oubliés d'un boulevard, de minuscules places. Fred Le Chevalier colle toute une foule bigarrée : filles et garçons, garçons et garçons, filles et filles. Et colporte au gré de ses promenades ces personnages attachants qui peuplent son intime intérieur, libre et divers, ses rêves, ses désirs et ses maux. Qui nous captivent et nous enchantent. Ce sont eux que l'on retrouve au fil des pages de ce nouveau livre illustré tout de noir et blanc.
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Avec la série Icônes, accompagnée d'un texte de Nina Bouraoui, François Fontaine poursuit son exploration du 7e art au moyen de la photographie. Cette série de portraits en couleurs de grandes stars féminines et masculines, réinterprétation picturale d'une scène de cinéma, a été réalisée à partir de films projetés sur écran. Outre la fascination propre au pouvoir des icônes, le sfumato chromatique qui compose ces portraits rend ces stars encore plus intemporelles et mystérieuse. Leurs visages, pourtant célèbres, que l'on pourrait contempler indéfiniment, demeurent une énigme captivante qui nous charme et nous hante et que François Fontaine laisse à chacun le soin de déchiffrer. Ce qui est le propre des mythes, des légendes et des icônes.
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Le monde photographique de Paul Rousteau est un monde de lumières, un monde de toutes couleurs où se perdre comme on se perd dans un jardin de délices. Des couleurs : des rouges - des rouges brûlants -, des bleus et des verts - gorgés de bleu et de vert -, des jaunes si vifs - comme de feu. Des couleurs jetées à foison, comme on lance à coeur perdu une brassée de fleurs. Des couleurs pour le plaisir, pour le jeu qu'elles offrent, profuses, en se côtoyant, se juxtaposant, se frôlant : alors, c'est une ronde ensorcelante, un carrousel de lumières. Ce jeu, quel qu'en soit le genre - paysage, portrait, nature morte, nu... - s'illumine du rapport étroit que Paul Rousteau tisse si entièrement avec la peinture. Alors, ce n'est pas une surprise de l'entendre citer Monet, Matisse, Derain, Bonnard. Autant de peintres pour qui la couleur est un enchantement - qu'elle exprime l'émotion douce, sensuelle, d'un bonheur très simple, une scène d'intérieur, une maternité ; ou l'emportement d'un ciel d'orage ; ou l'éblouissement d'un jardin en plein midi.
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Aussi curieux cela puisse-t-il paraître les pierres grandissent... C'est une faculté, nous apprend Vincent Puente, dont la supposition remonte à la plus haute Antiquité. Elles grandissent, donc, et pour certaines se déplacent... C'est là le début de l'histoire des pierres qui croissent...
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