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Dans le cadre du développement du quartier Paris Rive Gauche, de nombreux acteurs culturels ont fait le choix de développer le nouveau pôle de la création contemporaine dans le 13ème arrondissement. Côté rue Louise Weiss, comme au pied de la Bibliothèque Nationale, on prend un bol d'air new-yorkais dans les galeries et les ateliers d'artistes ou encore sur le Batofar.
Dans cette spirale dynamique, de nouvelles galeries font donc le choix d'accroître le nombre de nouveaux espaces pour l'art contemporain et les jeunes créateurs.
La galerie Magda Danysz cherche, en accord avec ce renouveau géographique, avant tout à faire la promotion d'artistes dits "émergents". Si leurs pratiques sont variées la qualité et le potentiel de développement des plus jeunes constituent le fondement des choix effectués par la galerie. Par ailleurs, la galerie ouvre de nouvelles perspectives de création avec l'organisation de plus en plus fréquente d'exposition sur le multimédia (from the web, juin 2002), les pratiques artistiques urbaines (sang 9, avril 2002) et l'ouverture de sa galerie virtuelle.
Enfin, la galerie attache une importance toute particulière à l'ouverture de l'art contemporain aux publics. Les expositions organisées sont ainsi souvent accompagnées de publications didactiques (textes, cartes ou catalogues). À cela s'ajoutent les événements organisés par la galerie en quête de multidisciplinarité et de rapprochement des différents publics (concert de rap donné en avril 2001). Au travers des ateliers de sensibilisation à la création contemporaine (de 4 à 8 ans), la galerie se rapproche aussi des publics plus jeunes.
La galerie Magda Danysz est une des rares galeries d'art contemporain à valoriser les artistes numériques et proches de l'esthétique des jeux vidéos et autres paradis artificiels d'aujourd'hui.
Ce catalogue regroupe toutes les activités de la galerie et de ses artistes (Miss Van, Cleyton Brother, Icon Tada, Nicola Ledoux, Space Invader,...). Il est édité à l'occasion de la Fiac2005
Le graphisme a été conçu et réalisé par le collectif Labomatic
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" l'ambition de fgp, lorsque se constitue, en 2004, ce trio d'architectes- urbanistes, est d'abord "désurbanistique".
Désurbaniser ? le sens de ce néologisme est explicite : corriger us et coutumes en matière d'urbanisme dominant. on se souvient des "désurbanistes" soviétiques, engagés dans un bras de fer impitoyable avec les vieilles conceptions urbaines de leur temps. on verra en fgp, dans un même esprit, un collectif de combat mais adapté, celui-ci, au xxie siècle, que marque le développement désordonné du fait urbain global.
Des stratèges de la requalification urbaine harmonieuse. [. ] trois individualités, trois signatures que la logique, au regard du moins de leurs inflexions architecturales respectives, n'eût pas de facto mariées. à l'arrivée, pourtant, un trio détonant mais dont chaque élément soutient et se fait fort de relancer efficacement les deux autres, non d'ailleurs toujours dans la sérénité. oú ferrier invoque l'optimum techno- écologique, gazeau souscrit plus volontiers au principe de la beauté juste et paillard à celui de l'énergie vitale impulsée jusqu'au coeur du projet.
" paul ardenne.
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Philippe cognee. musee des beaux arts d'anger
Musee Des Beaux-Arts
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- 1 Février 2005
- 9782915639049
Premier vrai catalogue / livre d'artiste consacré à l'oeuvre du peintre Philippe Cognée, c'est ouvrage accompagne son exposition originale - toutes les oeuvres ont été produites pour l'occasion - au Musée des Beaux-Arts d'Angers.
Philippe Cognée est peintre et le revendique, il l'est depuis ses débuts, de plus en plus malgré le recours à d'autres techniques, telles que la photographie, pour construire ses tableaux. Mais Philippe Cognée n'est pas un peintre enfermé dans sa matière, ses pinceaux ou la technique qu'il a mise au point. Nulle nostalgie, nul romantisme dans ses choix, mais sans doute une impérieuse urgence de peindre. Urgence au sens d'une énergie continue, tendue, prête à tout. Urgence de la matière aussi, qu'elle soit cire ou fusain dans l'acrylique, de celles qui ne peuvent attendre : il y a un moment tendu où il faut agir, qu'on ne peut repousser, et dont l'artiste a besoin. Philippe Cognée est un peintre qui, à travers sa peinture, questionne notre monde, le met à l'épreuve, le photographie, le filme, le découpe et le déconstruit, le reconstruit et le déforme, l'efface et le révèle pour en donner des images, ou plutôt des objets de peinture. Un peintre qui affirme sa position d'artiste et son rôle dans la société.
Dans cet ouvrage largement illustré, les éditeur ont voulu trouver une équivalence sur papier de son exposition angevine. Quatre grandes sections sont dédiées à quatre oeuvres originales. Sur seize pages chacune, un zoom est effectué, comme si vous étiez devant l'oeuvre et que votre regard rentre dans la matière peinte.
Une visite virtuelle de l'exposition pour tout ceux qui ne pourront voir l'exposition et un déclic pour les autres qui auront envie d'y aller après la lecture de ce livre.
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Sentiers urbains : les chemins de la transformation
Kimmerle/Gouraud
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- 8 Septembre 2006
- 9782915639315
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je dis toujours qu'il y a plein d'images qui viennent à l'esprit.
que l'avenir dure longtemps. qu'il n'y a pas de murs qui ne peuvent être abattus. que les illusions ne dispensent pas de regarder les choses en face. que la morale exige que nous nous mettions en péril aux moments précis de notre ignorance. que la responsabilité est irrécusable. que vivre est une chance d'être ému. et que la vie est faite de traverser des émotions. que moi qui parle de la mort des autres, je vais mourir.
qu'à cet instant, rien en moi ne parlera plus. que seuls les endeuillés seront consolés. mais qu'en attendant, plusieurs futurs sont possibles, et encore davantage de retours. enfin, que même si rendez-vous est pris - même heure, même endroit - il y aura toujours mille et une ruses pour ajourner ponctualité, ne serait-ce que parce que l'image est toujours un espace où se perdre.
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Made in Daney ; design, scénographie, architecture, lumière
Barbier/Desprairies
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- 16 Octobre 2008
- 9782357330221
Design, scénographie , architecture, lumière ? Nouvelles exigences, nouveaux matériaux, nouvelles technologies, alors que nous nous interrogeons sur les principes de création de notre environnement, Philippe Daney pose des réponses. Designer, scénographe, metteur en lumière, architecte, enseignant, homme d'images et de matière, cofondateur du groupe Tebong dans les années quatre-vingt-dix, il se place aujourd'hui à la pointe de projets replaçant l'Homme au centre de l'univers qu'il se bâtit. Philippe Daney agit, balayant du regard l'étendue des dégâts causés par les dogmes du profit, de l'esthétisme d'esthète ou des mauvaises habitudes annonçant la fin des corporatismes et la naissance d'une époque ouverte, humaniste et spontanée. Ce " roman de gestes ", anthologie d'une carrière bâtie sur l'empathie et la volition est à la fois un constat lucide et sur les égarements de la fin du siècle dernier et un lumineux messages d'avenir. 38950 mots posés sur le papier, comme autant de briques indispensables destinées à construire l'édifice qui abritera notre futur biotope.
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L'urgence, l'échéance, la durée / emergency, dealine, duration
Marc Jalet
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- 8 Janvier 2009
- 9782357330382
Marc Jalet publie sous ce titre un ouvrage qui répond à l'urgente nécessité d'embrasser la ville autrement dans le contexte des Petites Antilles. La ville qui s'éparpille invente des complexités qui nous imposent désormais une nouvelle façon d'aménager notre espace limité. Ce livre explore des points de vue qui s'expriment toutes les échelles du territoire. Il met en exergue certaines conséquences humaines de l'ère fonctionnaliste en Guadeloupe, courant associé à la production de masse de logements sociaux, indissociable de l'image délabrée des grands ensembles qui vont bientôt être démolis dans la cité pointoise. Prendre la mesure du cadre rigide des logiques de financement du logement social. Prendre du recul par rapport à cette injonction de "rattrapage" face à un prétendu "retard" vis-à-vis du modèle occidental. Lire la ville en décryptant ses trames déclinées en huit séquences: de la "ville imposée" (coloniale, rigide) à la "ville résistante" (qui invente, dans la souplesse et le mouvement, d'autres rapports à l'espace)... Voici une lecture intuitive de l'espace urbain pointais à travers une visite guidée dans les interstices d'une ville créole qui a su préserver des gisements. Précieux témoignage d'une étape essentielle du projet urbain, Marc Jalet nous livre le projet lauréat de la deuxième rénovation urbaine de Pointe-à-Pitre, dont il est l'auteur avec Emile Romney. Vingt ans, le temps d'un grand chantier. Un laboratoire à ciel ouvert qui devrait faire renaître la ville en quête d'elle-même, et dans lequel l'architecte veut travailler dans le fil d'un récit, avec un matériau qui peut paraître incongru: le temps.
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Des architectures vives - 26 installations architecturales du canal saint-martin au bassin de la vil
A-Pack
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- 1 Septembre 2005
- 9782915639148
Le Festival des Architectures Vives est la traduction de l'idée d'une fête de l'architecture.
Pourquoi une fête ? Car la culture ne se découvre au grand jour que s'il existe des occasions de la communiquer : spectacles, festivals, etc... La temporalité réduite de la fête engendre une dynamique absente des expositions classiques. Les créations des architectes, des artistes, des interprètes du cadre de vie, des amateurs, rendues publiques à un moment donné peuvent ainsi devenir une part commune de la culture. Dans cette dynamique, l'échange et la communication socialisent le sens contenu dans les créations. En passant de l'instant individuel à l'instant pluriel, la création devient un fait de culture collective.
L'enjeu est de taille, il s'agit bien de faire en sorte que la fête de l'architecture bascule du côté de la fête de la musique plutôt que de celui des journées du patrimoine.
La culture architecturale ne doit plus être seulement celle des temples et des monuments mais aussi celle d'un monde où les choses changent, évoluent, se transforment. À l'opposé de la standardisation de l'architecture une culture apparaît pour un monde où la redécouverte du tactile, du sensible, du contact deviennent des enjeux centraux.
Le Festival des Architectures Vives 2004 a eu pour mission d'aller non seulement à la rencontre des désirs, mais de les détourner vers ce qui serait de nouvelles expressions en accord avec notre époque. Nous proposons de créer des festivités architecturales qui s'étendent largement à toutes les activités d'expression plastiques liées de près ou de loin à l'espace et au plaisir d'y vivre.
De nombreuses installations allant dans ce sens, expressions individuelles d'artistes, ont vu le jour, comme des " zones autonomes temporaires ", des échafaudages du réel, des appropriations d'espaces, de lieux d'expression de tous les phantasmes. Il est grand temps pour les architectes de s'inscrire dans ce mouvement contemporain et de renouer avec ce que l'architecture à toujours été : le reflet des désirs d'une époque.
La fête de l'architecture se doit d'être un festival des architectures vives
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Olympolis - village olympique 2012, architecture durable - architecture ephemere - edition francais-
Sturzebecher/Ulrich
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- 1 Août 2005
- 9782915639100
Imaginons que la candidature de Paris pour les jeux d'été 2012 ait été retenue le 6 juillet 2005, une ville nouvelle doit être construite pour environ 15.000 athlètes. Et que pour un groupe d'étudiants d'architecture de Hambourg (HAW Université des Sciences Appliquées), cela devienne tout à coup une réalité, comment réagirait-ils ? Le "village olympique" devrait-il être un nouveau quartier habité et durable où une architecture temporaire éphémère conçue pour 2 semaines ? Les logements pourraient-ils être démontés après les jeux olympiques et exportés dans différents pays ?
"OlymPolis" pourrait elle devenir la ville précurseur d'un nouveau mode d'habitation temporaire ? > Architecture, Cellule - Modulaire> Structure, Ossature - Démontable > Recyclage, Mobilité -Transport
OlymPolis est le résultat du travail d'étudiants en architecture de Hambourg sous la direction de Peter Stürzebecher. Il témoigne non seulement d'un enseignement engagé mais aussi d'une approche, innovante et originale en faveur d'un nouvel "esprit olympique" conjuguant architecture durable et éphémère.
Dans une deuxième étape, l'objectif est la mise en place d'un Concours d'architecture européen de jeunes architectes , " OlymPolis R* 2012 ", sur la conception et la réalisation d'une architecture durable-éphémère pour la ville olympique 2012 désignée. Le concours sera coordonné par Peter Sturzebecher, Sigrid Ulrichs et Stéphane Courarie-Delage. (Berlin, Lyon, Paris)
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Marseille et associés ; 1977-2007 - 30 ans d'Art contemporain
Collectif Archibooks
- Archibooks
- 15 Novembre 2007
- 9782915639810
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La revue « Exercice(s) », support de l'architecture en Bretagne, dont le premier numéro sera disponible en librairies début mars 2009, a pour vocation de présenter les travaux des étudiants de l'école, de permettre aux enseignants d'y inscrire leurs méthodes pédagogiques et de relater leurs points de vue de professionnels de l'architecture.
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L'art n'est pas l'architecture : Hiérarchie - Fusion - Destruction
Martine Bouchier
- Archibooks
- 10 Janvier 2006
- 9782915639056
L'art n'est pas l'architecture est un essai sur les relations art(s) / architecture abordées du point de vue des arts confrontés à l'architecture comme seuil, sol, résistance première et dernière à leur destin. Il démontre que l'art porte en lui une différence constitutive qu'il n'a de cesse de réaffirmer dans ses rapports à l'architecture et dessine ce face à face comme une suite rythmée d'arrachements, de dépassements, de basculements, de critiques et de désordres. La position de l'art est un démenti à celle de l'architecture et les figures de leur médiation désignent le clivage, la transversalité et la réflexivité comme les rouages essentiels de leur articulation. Ce livre s'attache à montrer comment à travers leurs actions, leurs dispositifs et leurs écrits, les pratiques artistiques les plus radicales ont "construit" un "anti-système des arts" déterminant l'architecture comme base fondatrice pour l'art, comme paradigme ou modèle à imiter, enfin comme altérité à dépasser ou à détruire.
Ouvrant l'architecture contemporaine à ses dimensions artistiques et esthétiques L'art n'est pas architecture plonge ses racines historiques et théoriques dans la hiérarchie des arts de Hegel et mobilise la pensée de philosophes et théoriciens du XXe siècles comme Adorno et Benjamin ainsi que les réflexions des artistes d'avant-garde comme Malevitch, Smithson et Fluxus. -
Conçu par l'agence X-TU, l'UFR de Chimie de l'université Paris VII a été achevé en mars 2008. Ce projet audacieux est venu enrichir un pôle universitaire qui comprenait déjà l'École d'architecture Paris Val-de-Seine, l'INALCO et l'antenne parisienne de l'université de Chicago.
Richement illustré, cet ouvrage sera l'occasion d'appréhender la démarche originale du projet. Les architectes ont souhaité "construire l'angle de la rue par une volumétrie simple dont la forme "fonctionne" par elle-même", "exploiter les différences de niveau du quartier, et les faire apparaître comme une pente "naturelle" du lieu" et "utiliser les niveaux bas du projet pour réaliser les continuités avec la rue et les travailler comme un espace sculpté en creux, où glisse doucement l'espace public".
L'édifice crée ainsi une transparence urbaine, qui est vue en contre-jour et renvoie à d'autres traversées urbaines de l'histoire des villes. D'une surface de 10 700 m², le bâtiment a été pensé en forme de U, laissant pénétrer la lumière du sud. Se développant sur huit niveaux, il puise son dynamise dans l'opposition de ses façades : la façade "pixélisée" de l'allée Paris Ivry s'inspire des reflets de l'eau et du fleuve voisin. Son écriture emprunte aux répertoires des images numériques et son motif est réalisé en combinant verres opales, semi-réfléchissants et sérigraphies partielles. La façade "blanche" de la rue de Baily met en valeur la forme de la "traversée" et est réalisée en combinant des verres transparents ou semi-opaques sérigraphiés. Côté boulevard Masséna, au sud-est, une double façade en aluminium forme une protection solaire et est partiellement perforée des mêmes motifs que la façade "pixellisée". La traversée de l'UFR s'effectue par un "balcon urbain" - des passerelles habillées d'inox brillant et éclairées par des "jours" en polycarbonate cintré - offrant une vue sur le quartier comme sur le jardin situé à l'intérieur et exposé plein sud. Une réalisation minimaliste dans laquelle l'harmonie des formes s'oppose à toute ostentation.
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