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Quelle année en perspective ! Nous vous avons concocté une belle surprise avec le Bon Marché Rive Gauche... Tout un étage dédié à Bâtard, avec la création d'un kiosque-café à l'occasion de l'exposition Je t'aime comme un chien.
Encore une excuse pour mettre à l'honneur nos chers cabots et leur aboyer tout notre amour. Au programme, une brocante d'objets vintage sur le thème canin, des collectibles, des événements le samedi... pour lesquels, bien sûr, ils seront le clou du spectacle.
Et pour ce nouveau numéro, on frappe fort avec des sujets poignants :
- Une enquête sur le mushing, puisque la Grande Odyssée et la Lekkarod célèbrent respectivement leur 20e et 10e anniversaire
- une interview de la responsable des programmes du réseau QUATRE PATTES qui lutte contre le commerce de viande de chien en Asie du Sud-Est
- un portrait de Rosa Bonheur, peintre pionnière dans le genre animalier et qui a révolutionné la manière dont on représente désormais les bêtes, et notamment les chiens
- une chronique sur L'Île aux chiens de Wes Anderson, dans un monde dystopique où un chien et un jeune adolescent déjouent un complot politique sur fond d'écologie
Mais on ne s'arrête pas là : une rencontre avec les mystérieux chows-chows, ces lions à la langue bleue qui fascinent autant qu'ils interrogent, un détour historique par les récipiendaires de la médaille Dickin, plus haute distinction militaire attribuée à des animaux, une présentation de la formation aux premiers secours canins, qui nous rappelle avec beaucoup d'humilité comment se comporter face à un chien blessé...
Arrêtez, on ne vous dévoilera pas tout ! -
Au sommaire de ce numéro : de la poésie en pays humide par Julien Bal, une enquête dont vous êtes les petites mains par leslie doumerx & numa kouassi, cinq points de vue sur un chien mort par Canin·e, des huisseries pour point de départ par Antonin Crenn, la mort d'un oiseau sous les coups de crayons de Mamoste Dîn, une histoire de convergence des luttes racontée par Marie Cabadi sur une invitation de Charlotte Thillaye en écho à etaïn zwer, des bâtiments alambiqués par Sacha Cardin, des cailloux, tout un tas, générés par Léo Duquesne, des murs effondrés par Reouven Naccache, des brèches dans le futur de la justice algorythmique par Mathilde Shoenauer Sebag et Alexia Falisse, la page blanche d'Alex Baladi, des méditations poétiques ou de la poésie méditative, enfin quelque chose d'inspiré, par Eva Genicot, une planche dessinée où Charlie n'y est pas mais avec plein d'autres choses à trouver par Georges le Godinec, les instruments de musiques aquatiques d'Arthur Lacomme, des réflexions pour l'avenir syndical par Olivier Starquit, des mythes anciens revus et inventés par Cèdre, le carnaval brésilien comme vous ne l'aviez (peut-être) jamais envisagé par Valentine Bonomo, une discussion entre playslists par Rubin Steiner, des algorithmes, encore mais en montagne cette fois avec Denis Deprez, des générations à la loupe et à la serpe par Maya Vitalia, des gâteaux de famille par Inga Padurari, le télétravail à l'épreuve de la poésie par Lou Dimay, un entretien de Lucie Combes qui l'air de rien brasse des milliards avec Alexandre Laumonier, des phrases longues dans toutes les langues grâce à Clara Nizzoli, des lichens qui se prennent pour des caractères typographiques avec Aldwin Raoul, le retour des poulpes avec Noémie Erb, un Jean-Pierre Monfrançais qui doute du bien-fondé de sa gouvernance, des masques dans le règne animal et des pixel qui se dissimulent sous l'apparence de noeuds de laine, bref des organismes bizarres plein les pages.
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À l'hiver 2022/2023, Papier Machine n°13 s'est entichée du mot COUETTE qu'il étire sur ses 112 pages imprimées en couleur et presque en relief.
Au sommaire de ce numéro : des spéculations archéologiques, des protubérances matinales, des mondes sauvages, un coussin, des mots résistants, des spéculations capillaires, l'obscurité comme vous ne l'avez jamais vue, un massacre, du trafic d'organes, les débuts d'un autre monde, une plongée aquatique, de l'esthétique mouillée, des révolutions ouvrières, une ouvrière révolutionnaire, des histoires sur l'amour, des corps nus, des corps revêtus, des nuisibles désirables, des plumes, des animaux nocturnes, des écarts de prononciations, des animaux qui parlent, des animaux morts et/ou disparus, et encore d'autres d'animaux qui parlent, beaucoup d'animaux qui parlent. -
Un numéro goûteux et réconfortant pour l'hiver!En raison de l'influence de l'Italie voisine et de l'absence de légumes frais pendant la longue période hivernale, les pâtes ont occupé une place de choix sur la table de l'alpin et ce depuis le Moyen Âge au moins. Simple mélange d'eau, de farine, de sel et parfois d'oeuf, elles ont été déclinées sous toutes les formes et assaissonnées à toutes les sauces. Elles sont devenues un produit identitaire, dont chacun se veut détenteur de la « vraie » recette. À partir du XIXe siècle, les pâtes sèches commencent à concurrencer les pâtes fraîches, avec l'éclosion de véritables sagas industrielles, celle de Lustucru née à Grenoble par exemple ou d'Alpina en Savoie.
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L'Alpe 108 - Une vie de château : Une vie de château
Collectif
- Glénat
- L'Alpe
- 5 Mars 2025
- 9782344067345
Regards croisés sur ces lieux-phares du patrimoine alpin.
Châteaux-forts, palais baroques, édifices néoclassiques : tous les styles de châteaux sont représentés dans les Alpes. Les uns ont résisté au temps, les autres ne sont plus qu'à l'état de ruines, voire de simples souvenirs dans la toponymie. Ils quadrillent par un maillage étroit l'ensemble des Alpes. Anciens lieux de pouvoir, ils nous racontent l'histoire de l'administration et du contrôle des territoires. Ce numéro va s'intéresser autant à l'histoire politique que leurs murs nous racontent en filigrane qu'à la vie des bâtiments, maintes fois restaurés ou abandonnés, hauts lieux aujourd'hui du tourisme ou de l'urbex.
Au sommaire :
- Les châteaux forts de l'Isère. Où en est la recherche archéologique ? Que reste-t-il encore à découvrir ?
- Les châtellenies, ou comment administrer le Dauphiné et la Savoie au Moyen Âge.
- Au fourneau ! Dans les cuisines des châteaux médiévaux
- Musique! Les grands compositeurs à la cour des Savoie
- Style médiéval ou Art nouveau ? La restauration du château de Ripaille par l'industriel Frédéric Engel-Gros
- La face cachée d'un château de contes de fée. Ou l'histoire des dépôts d'oeuvres pillées par les nazis à Neuschwanstein. Enquête
- En ruines. De la fascination des Romantiques à la pratique de l'urbex
- Pages pratiques. Guide de ces châteaux devenus musées. -
Coup de projecteur sur une caractéristique essentielle de l'économie alpine.Viticulture, arboriculture, pastoralisme, tourisme, hôtellerie, restauration, bâtiment, transport : des pans entiers de l'économie des vallées alpines reposent sur l'emploi de saisonniers. Cette organisation saisonnière du travail s'inscrit dans une très longue tradition, en raison du climat bien sûr, du calendrier des cultures agricoles, mais aussi de la grande mobilité des montagnards.
Au sommaire :
- L'histoire de la saisonnalité du travail dans les sociétés paysannes de montagne.
- Sur les grands chantiers (barrages, tunnels, routes, canaux).
- Peintres, fresquistes, stucateurs : sur les pas de ces artistes itinérants qui allaient d'églises en églises...
- Que le spectacle commence ! Au programme, montreurs de marmottes, joueurs de vielle, démonstration de lanterne magique.
- Interdit aux chiens et aux Italiens : dans les coulisses du film en stop-motion d'Alain Ughetto.
- 9 mois de légalité, 3 mois de clandestinité. L'histoire du statut de saisonnier en Suisse, qui fut en vigueur entre 1931 à 2002.
- Saisonniers en stations. Ils font tourner remontées mécaniques, écoles de ski, restaurants et hôtels. Mais durant l'intersaison, que deviennent-ils ?
- Par choix ou par défaut ? Portraits de saisonniers d'aujourd'hui. -
Alors que les températures baissent en flèche, c'est le moment de se blottir contre son chien pour trouver un peu de réconfort, comme si on avait vraiment besoin d'une excuse...
Cette année 2024 se conclut tambour battant, après de belles aventures passées à vos côtés. Mais ne croyez pas que nous allons nous reposer sur nos lauriers (ou notre gui), on vous prépare d'étonnantes surprises dans ce dernier numéro de Bâtard, à vous défriser le poil d'un caniche.
Tout d'abord, nous avons rencontré Julien Doré, à l'occasion de la sortie de son nouvel album Imposteur, avec lequel nous avons pu échanger autour de l'engagement artistique au service de la condition animale. Évidemment, Simone et Jean-Marc, les deux bergers blancs suisses de l'interprète, ont fini par pointer le bout de leur museau dans cette conversation, c'était bien sûr inévitable.
Mais beaucoup d'autres sujets passionnants au sommaire de ce numéro, qui fleure bon le feu de cheminée et la laine fatiguée de votre pull de Noël préféré :
- une enquête mettant en perspective la loi turque condamnant à une mort certaine les près de 4 millions de chiens errants dans les rues d'Istanbul
- une interview de Laura Martin Contini et Messi, la véritable star du thriller psychologique de Justine Triet, Anatomie d'une chute
- un portrait des chiens de Keith Haring, mettant en lumière son inflexibilité contre une société américaine des années 1980 malmenant les minorités
Et plein d'autres pépites : une association en Guyane qui oeuvre pour la réhabilitation des chiens du pays, en travaillant autour de l'idée d'apprentissage social en meute et d'activités de médiation, un hommage aux chiens de la R.D.A., contraints de surveiller jour et nuit le mur de la honte, une interview de Daniel Grignon, le brigadier-chef qui s'est battu pour faire reconnaître la pertinence de l'odorologie (l'identification des odeurs par les chiens) au sein de la police judiciaire... Et on en passe pour garder un peu de mystère ! -
Le numéro 4 de Bâtard s'attaque cette fois à une race qui défraie la chronique médiatique : les bouledogues français. Alors que leur mignonnerie est cultivée au péril de la souffrance du chien, beaucoup s'interrogent aujourd'hui sur la tyrannie imposée par le standard qui conditionne l'élevage. L'édito permettra également de belles découvertes au fil des pages : - Un portrait des Poilus de la Butte, cette congrégation des canidés de Montmartre qui se réunit fidèlement pour créer ce sentiment de communauté, à travers le chien - Un entretien fleuve avec Anne-Claire Chauvancy, la présidente de l'association Action Protection Animale, qui requestionne la notion d'éthique dans l'engagement autour de la protection animale - Un dossier croisé sur le film japonais et son remake américain relatant la légende du chien Hachiko, qui a attend inexorablement son maître à la gare après son décès, dans l'espoir de le revoir rien qu'une fois Et bien sûr, quelques pépites dont Bâtard a le secret ! Le chien des Baskerville, le festival Kukur Tihar mettant à l'honneur les chiens, Marilyn Monroe, le cavage...
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Des monstres feuillus, des champignons par dessous la jupe, de l'amour en altitude et en chaussettes, une plaidoirie contre Sainte-Beuve (ou presque), du saucisson comme vous n'en avez jamais vu, du rififi dans la traduction, de l'infra-ordinaire, des lettres effacées, de la typographie éclairée, un intérieur surpeuplé, des pourparlers non-éducatifs, une brochettes de feignasses, un précis de philosophie saltoïste, un où est Charlie sans Charlie mais plein de poésie, des souvenirs d'Algérie, les débuts d'une recherche prometteuse, un trip musical collé conté, de la gravure sur papier publicitaire, des UniversiTerres en colère, des rouages explosifs, un traité du Nananère, du noir et blanc, des synonymes, de la poésie, une partouze, un Tribunal des mots et bien d'autres choses encore.
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Chasse aux sorcières, grandes affaires criminelles, polars alpins... Entre histoire, faits divers et fiction, ce nouveau numéro de L'Alpe sera noir, très noir!Plongeant dans les archives et les actualités policières et judiciaires, ce numéro s'interroge sur les spécificités de la justice et de la police dans les Alpes, liées aux difficultés du relief, à la répartition démographique et aux multiples frontières qui quadrillent l'arc alpin. Retour sur les grandes affaires judiciaires qui ont défrayé la chronique dans les Alpes, du brigand Mandrin à l'affaire Dominici, en passant par les procès pour sorcellerie, sans oublier un large détour par la fiction (polar alpin, cinéma) pour mieux comprendre la justice en territoire alpin.
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Nul n'échappe au désir de s'écarter momentanément de l'ordinaire et de se détacher de ses obligations quotidiennes : les uns veulent se « vider la tête » pour se délester de la pesanteur des jours, les autres faire le plein de sensations pour donner du relief à leur existence. La fête et les décors pleins d'invention qui lui sont associés sont là pour ça...
De la procession religieuse au festival de musiques actuelles, de la fête foraine à la croisière sur un paquebot, les décors où se déroule la fête sont protéiformes. Leurs concepteurs sollicitent de nombreuses compétences techniques et artistiques pour immerger la foule dans des univers originaux, où l'histoire est revisitée et les espaces mis en scène de façon inattendue. -
Déjà la rentrée! La période estivale a permis de reprendre du poil de la bête et votre chien est gonflé à bloc pour cette fin d'année qui s'annonce palpitante.
Bâtard est partenaire de la sortie du film de Laetitia Dosch, Le procès du chien, en salle le 11 septembre 2024. L'occasion d'explorer dans le numéro 6 les questions autour d'un statut juridique du chien hybride et insatisfaisant, qui ne permet pas de protéger comme il se doit nos compagnons à 4 pattes, au détour d'une conversation entre la réalisatrice et Graziella Dode, avocate au barreau de Lille spécialisée dans le droit animalier.
Mais on ne s'arrête pas là! Ce nouveau numéro vous réserve d'autres belles surprises :
- en mettant les caniches à l'honneur, Bâtard s'attaque au mythe du "chien de mémé" en réhabilitant ces chiens sensibles pleins de vie
- une interview des frères Jullien, Jean et Nicolas, deux designers français dont le travail est parsemé de chiens, déclinés sous toutes les formes
- un portrait des chiens d'assistance judiciaire qui aident à libérer la parole des victimes et qui tendent à se généraliser dans les différentes institutions françaises, sur le modèle américain
Et plein d'autres sujets inédits : les corgis de la reine Elizabeth, une rencontre avec les créateurs de la collection Chien Pourri publiée chez l'École des loisirs, une présentation du premier tome de la collection Amigos Forever dirigée par Martin Béthenod, dédié à Picasso et ses chiens, un hommage aux courageux chiens intervenus pendant le 11 septembre... -
Alors que les températures qui se réchauffent, votre meilleur ami à quatre pattes passe son temps à se faire dorer la pilule dans le moindre carré de soleil. Il le sait, les sauterelles commencent à chanter, ça fleure bon le jasmin et la piscine du voisin vient d'être mise en eau. L'été est enfin là, il est temps de perfectionner son plongeon et ses figures aquatiques !
Dans ce numéro 5 de Bâtard, qui marque aussi les 1 an de la revue depuis sa sortie en juin 2023, nous ferons la part belle au berger par excellence dans l'imaginaire collectif : le border collie. Ce chien, réputé particulièrement intelligent, fait partie des chiens préférés des Français qui l'accueillent souvent en sous-évaluant ses besoins de dépense.
Mais ce n'est pas tout, au menu pour ce nouvel opus :
- une interview de Pomme, la chanteuse française, qui nous raconte son histoire avec les chiens de sa vie, Floppy et Pizzaghetti
- un reportage au Département d'éthologie de la Faculté des Sciences Lorand-Eötvos à Budapest, le plus grand laboratoire consacré aux recherches sur nos amis les canidés en Europe
- une rencontre exclusive avec William Wegman, le célèbre photographe américain qui met en scène ses Braques de Weimar dans des contextes parfois drôles, poétiques voire absurdes
Et plein d'autres sujets inédits : le shiba du jeu vidéo Humanity, une rencontre avec l'association La maison des beagles libres, une introduction à la médiation canine en EHPAD avec la belle border Nova, la présentation du dernier livre d'Ovidie, Assise, Debout, Couchée ! . -
Les 25 ans d'une revue pionnière ! 100 parutions et autant de thèmes explorant la culture et les patrimoines de l'arc alpin. Un immense merci à nos lecteurs, libraires et partenaires fidèles, ainsi qu'à l'ensemble de nos contributeurs !En 1998 naissait une revue pionnière, un « mook » peu ordinaire, qui prenait pour sujet les Alpes comme terres humaines. 99 numéros plus tard, L'Alpe continue de questionner les cultures et patrimoines de l'Europe alpine à sa façon : mettre à la portée du grand public les dernières recherches, privilégier les angles décalés et... accorder une très belle place à l'iconographie.Son premier numéro s'intitule Gens de l'Alpe ; son numéro 100 : Alpins, 7000 ans d'adaptation. Depuis le Néolithique, période à laquelle les premières communautés se sédentarisent (les premières traces humaines remontent à 100 000 ans environ), les hommes ont dû sans cesse s'adapter aux contraintes particulières de ce territoire : à la pente, au froid, à la neige, aux avalanches, aujourd'hui au dérèglement climatique. Ils ont dû faire face aux contextes politiques et socio-économiques changeants. Ces adaptations vont entraîner des migrations à différentes échelles : proches ou lointaines, définitives ou saisonnières. S'en dégage l'image de sociétés de montagne en constante mutation. C'est à ces diverses formes d'adaptation que va s'intéresser ce numéro. Il accompagnera la nouvelle exposition de référence du Musée dauphinois de Grenoble, partenaire de la revue depuis ses débuts. Au sommaire- Comment raconter l'histoire des sociétés alpines sur un temps long, dans sa complexité et sa diversité ? C'est le chantier d'envergure dans lequel s'est lancé le Musée dauphinois.- Les Alpes domestiquées. Au Néolithique, les communautés paysannes s'implantent durablement dans les Alpes. Elles adaptent leur économie agropastorale à la topographie et au climat montagnard.- S'il est un eéveénement majeur dans les Alpes durant l'Antiquiteé, c'est bien la conquete des Gaules. Mais que sait-on vraiment de la romanisation des populations alpines ?- L'histoire peu ordinaire d'une armoire, celle des Escartons à Ville-Vieille, symbole d'une forme originale de gouvernance, qu'expérimentèrent cinq hautes vallées du Dauphiné à partir du XIVe siècle.- La formidable ascension des libraires et colporteurs du Briançonnais au XVIIIe siècle, dont le réseau s'étendait en Europe et même outre-Atlantique !- L'étourdissante vitesse des mutations des sociétés de montagne du XIXe siècle à aujourd'hui (industrialisation, exode rural, tourisme).- Plongée dans les archives de Villard-de-Lans pour retracer le chemin de ces acteurs inconnus qui ont oeuvré à la transformation du Vercors.- Portfolio. Le photographe suisse Hans Peter Jost s'est intéressé à l'hypertourisme qui frappe les montagnes suisses chantées jadis par Haller. On rit, certes, mais on rit jaune !- Quel avenir pour les jeunes montagnards ? Va-t-on vers une révolution numérique de la montagne ?- Demain la montagne : une sélection de solutions environnementales et sociales portées par différents acteurs en faveur d'une montagne plus durable.- Carte blanche à l'écrivain Philippe Claudel, grand amoureux de la montagne, inquiet de l'emprise de l'homme sur ses paysages. Un manifeste amer et aimant à la fois.
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Papier machine n.11 : paillasson
Papier Machine
- Papier Machine
- Papier Machine
- 30 Avril 2021
- 9782931076033
Au sommaire de ce numéro : des plans sur la comète, du complotisme de salle de bains, les tribulations d'un type en quête de sensations, un tapis de verdure noir et blanc, des non-dits familiaux en 3D, une géographie des semelles crottées, des flutes du fond des âges aux origines de la musique et une bande de chaussures qui ne pensent qu'à picoler, des sacrifices au Dieu Res, des poils bleus, des poils tout court, du fil et du foin, encore des poils bleus, tout ce que vous ne vouliez pas forcément savoir sur les orteils, une page 66, une bataille complètement dérangée, un texte à lire à voix haute, des têtes à toutes les fenêtres et du sang plein l'hôpital. Mais aussi de la poésie et des corps liés, fâchés, des rencontres à l'aveugle qui n'ont vraiment rien à voir avec du speed dating, des tapis d'excuses, une morte et des sourires forcés, des luttes sociales et des corps liés, toujours, fâchés, aussi, et enfin, des cheveux en pétard
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À la découverte d'un territoire solaire, qui fut le pays de Giono et d'Alexandra David-Néel.Jusqu'en 1970, le département des Alpes-de-Haute-Provence était désigné sous le nom de « Basses-Alpes ». Or c'est justement aux parties les plus alpines, la haute Ubaye (qui culmine à plus de 3 400 m avec l'aiguille de Chambeyron), le haut Verdon et la vallée de la Blanche que va s'intéresser ce numéro, ainsi qu'à la montagne de Lure. Terre de transhumance et de migrations, ce territoire a cette particularité d'avoir une double identité, alpine et méditerranéenne. Ce numéro tissera ainsi des liens entre amont et aval, Alpes et Provence. Au sommaire :- L'invention d'un département.
- Parlez-vous occitan? Première leçon : apprendre à s'insulter en patois valéian !
- Au coeur de la transhumance. Ou comment la région s'est imposée comme le lieu central de cette pratique pastorale depuis le Moyen Age.
- Carnet de fouilles. Zoom sur les découvertes archéologiques récentes.
- « Vous êtes ici. » Cinq ans d'immersion dans le triangle Saint-André-les-Alpes - Thorame-Haute - Annot, le long de la ligne de chemin de fer du train des Pignes. Un portfolio signé Éric Franceschi.
- L'eau en partage. Sécheresses, crues... L'eau est une ressource irrégulière qu'il a fallu très tôt gérer et partager.
- La montagne de Lure sous l'égide de Giono. Le portrait sensible d'un relief battu par les vents.
- Salagon ou l'aventure du Musée ethnologique des Alpes-de-Haute-Provence.
- Le tourisme des racines. Quand les familles d'anciens émigrants partis aux Amériques reviennent sur les terres de leurs ancêtres en Ubaye...
- Hiver en station. Chroniques de ski dans les vallées de la Blanche, du Verdon et de l'Ubaye.
- La tête dans le ciel. La longue histoire de l'astronomie dans le département depuis Pierre Gassendi à l'Observatoire de Haute-Provence.
- Rêves d'Icare? Combien sont-ils, ces mordus de sports aériens attirés par les reliefs et les conditions thermiques de ce département vélivole? -
Déjà le numéro 3 de Bâtard, et le Chien n'en a pas fini de nous surprendre !
Pour ce nouveau numéro, Bâtard se pare de son plus beau manteau rouge, Bow sort le gui et Marty réserve sa place au coin du feu.
Mais cette fin d'année ne rime pas seulement avec légèreté et célébration, c'est également l'occasion de muscler l'édito et d'interpeller sur certaines questions de fond relatives à nos amis les canidés :
- des reportages sur le terrain, mettant en perspective la notion de chien-outil au coeur d'un entretien fleuve avec les militaires du 132e Régiment d'Infanterie Cynotechnique et d'une ferme de Huskies en Finlande - une interview exclusive de l'équipe KDOG de l'Institut Curie dédiée aux recherches de dépistage du cancer du sein à l'aide de chiens - une première approche de la réhabilitation du deuil de son animal, abordé par François Schuiten dans Jim, et Cédric Sapin-Defour, dans Son odeur après la pluie, phénomène littéraire surprise de l'année 2023, qui n'en finissent pas de démontrer l'engouement et le momentum autour du Chien Et plein d'autres belles surprises ! Des malamutes, Sully le labrador à George H. W. Bush, un petit bâtard nommé Cracker Jack... -
Le #2 de Bâtard enfin disponible, avec au programme cette fois, des teckels ! L'attendrissant chien-saucisse qui fascine tant sera néanmoins bien accompagné : Mirza, Laïka, Beethoven, Colette... que du beau monde !
- - Extrait de lédito #2 Les innocents, We are the champions, La leçon de conduite, Les infidèles... pour ne citer que quelques campagnes de sensibilisation de la Fondation 30 millions d'amis. Et pourtant, chaque été apporte son lot de messages incitant à la raison, avec plus ou moins de succès. Été qui rime souvent avec le débordement des associations qui ne peuvent prendre en charge l'ensemble des animaux laissés sur le carreau.
Alors pour l'occasion (mais pas seulement), on emprunte la devise des Marines américains, gravée sur nombre de tombes du Cimetière des Chiens d'Asnières-sur-Seine, Semper Fidelis, parce que quand un chien abandonne son maître, ce n'est pas pour partir en vacances.
Désormais, à nous d'être fidèles.
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Les verbes de la jubilation, les verbes de la libération
Emmanuel Fournier
- Héros-Limite
- Revue L'Ours Blanc
- 19 Novembre 2021
- 9782889550616
Initié dans la revue Contrat Maint, la Théorie des verbes d'Emmanuel Fournier trouve son achèvement aujourd'hui. Chacun des textes qui composent cette suite résulte du montage de fragments de textes prélevés dans deux livres de deux auteurs différents. Pour Les verbes de la jubilation, Fournier puise dans Le gai savoir de Nietzsche et dans Roland Barthes par Roland Barthes. Pour Les verbes de la libération ce sont Notre-Dame du Paris de Victor Hugo et Léonard et les philosophes de Paul Valéry qui sont mis à contribution. Comme jadis John Cage « préparait » son piano, Emmanuel Fournier « prépare » ses fragments pour les imbriquer dans le montage final. Le statut d'auteur se trouve ainsi mis radicalement en jeu. L'exercice de la pensée qui va de pair avec l'énonciation de la parole poétique se trouve soumis aux aléas de l'extériorité paradoxalement recherchée comme une chance d'approfondissement. Il en résulte des textes d'une étrange beauté et d'une intelligence provocante.
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Fruit de quarante années de recherche sur l'art dans le monde, La beauté sauvera le monde guide le regard du lecteur, à travers plus de cent cinquante reproductions en couleurs des plus grands chefs-d'oeuvre, vers l'invisible dans le visible. Une initiation magistrale à l'art contemporain, récompensée par l'Académie française et déjà saluée par plus de 30 000 lecteurs.
Comment l'homme moderne, élevé dans une société sécularisée, peut-il encore comprendre l'art sacré ? Privé du sens des mystères qu'ils tentent de matérialiser, bien des chefs-d'oeuvre de notre histoire lui sont devenus impénétrables.
L'art, succédané du religieux, résiste pourtant au désenchantement du monde et conserve l'extraordinaire pouvoir d'ouvrir l'homme au surnaturel. Fort de cette certitude et de quarante années de recherche, Bernard Bro, à travers plus de cent cinquante reproductions en couleurs des plus grands chefs-d'oeuvre, aide le lecteur à déceler et interpréter les traces de l'invisible dans le visible.
Un exceptionnel itinéraire esthétique et spirituel.
Prix du livre d'art Charles Blanc de l'Académie Française (1991) -
Un numéro d'hiver résolument goûteux et réconfortant. Issu d'une tradition plurimillénaire, le pain est l'aliment de base dans l'ensemble des Alpes. De l'eau, de la farine et du levain, et le tour est joué ou presque... Car imagine-t-on les efforts pour cultiver des céréales en altitude ? Quand le blé ne pousse plus, le seigle résiste encore. Encore faut-il pouvoir cuire le pain. Par manque de bois, à Villar-d'Arène et dans d'autres villages des hautes vallées dauphinoises, on le cuisait autrefois une fois l'an seulement. De seigle ou de froment, de nombreuses spécialités ont vu le jour dans les différentes régions alpines, dont certaines, désormais labellisées, connaissent un regain d'intérêt jusque dans les plaines. Ces dernières années, le pain commence à regagner ses lettres de noblesse, même si le chemin à parcourir est encore long pour qu'il s'impose comme un véritable aliment gastronomique. Au sommaire :
- Le seigle, emblème de la montagne.
- L'engouement pour le levain, le renouveau des variétés céréalières anciennes, l'attrait pour la boulangerie, la médiatisation des boulangers paysans, etc. : ces tendances ne doivent pas cacher les consommations de pain d'origine industrielle. À quoi ressemble le paysage du pain aujourd'hui en France?
- Les maîtres du pain sous l'Ancien Régime, ou l'histoire des fourniers et des premiers boulangers du Dauphiné.
- « Le secret de maître Cornille » d'Alphonse Daudet : quel bonheur de se replonger dans ce conte mettant en scène un vieux meunier enragé ! Il en dit long sur la transformation de la meunerie au XIXe siècle.
- Que la fête commence ! Dans l'espace alpin, le pain est célébré, béni, partagé lors de fêtes et célébrations qui témoignent à leur façon de la valeur inestimable des céréales.
- Rencontre avec l'historien américain Steven Kaplan, spécialiste de la question des subsistances au XVIIIe siècle. Ardent défenseur du goût, il s'insurge contre la consommation encore majoritaire des baguettes blanches dans cet entretien décapant.
Le dossier est ponctué d'autres interviews avec des acteurs de la filière : boulangers du Dauphiné, du Val d'Aoste et du Valais, minotiers, chercheurs en agronomie, ainsi qu'avec le chef étoilé Christophe Aribert. -
Avec la revue BÂTARD, nous cherchons à rendre ses lettres de noblesse au Chien. Nous voulons prendre le contrepied de ce qui s'écrit, de ce qu'on voit et du discours sur les chiens, pour renouveler le regard que l'on pose sur eux. Vaste programme et tâche ardue, mais ils le méritent bien !
Le Chien a tant inspiré, et nous n'avons pas fait exception.
La revue BÂTARD ne se veut pas un magazine spécialisé sur le comportement canin ni un maître à penser sur les bonnes pratiques à adopter pour éduquer son chien. L'ambition de la rédaction repose sur une offre éditoriale inédite : explorer les facettes de cet animal qui a su, au fil des années, tisser une relation particulière avec l'Homme, au point de conquérir une place intime au sein de nos foyers. Qu'est ce que cela dit de nous ? Et surtout, qu'est ce que cela dit de lui ? C'est la grande question que nous avons décidé d'aborder avec BÂTARD ! -
Le pas du coq réunit quelques-uns des billets qu'Erica Van Horn rédige régulièrement pour rendre compte de l'état du monde vu depuis son petit village du comté de Tipperary, en Irlande. A travers la série des portraits hauts en couleurs de ses voisins immédiats, elle s'attache à décrire la trajectoire de gens simples dont le génie consiste à s'approprier des conditions de vie parfois rudes, rarement propices à l'épanouissement personnel, pour réinventer des modes d'occupation poétique du monde. Ainsi de l'indestructible optimiste Tom Browne, un vieil ouvrier qui continue, après sa retraite, à construire des maisons mais en modèles réduits et s'invente, pour régler son existence, des listes fantaisistes dont il ne sait plus énumérer les items.
Avec beaucoup de délicatesse et un sens aigu de l'observation, Erica Van Horn pose sur le monde immédiat du quotidien un regard plein de l'intelligence du coeur. Ce faisant elle délivre une leçon de vie que nous aurions tort de minimiser.
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La forêt, au coeur de la vie des communautés alpines d'hier et des enjeux environnementaux d'aujourd'hui.
La forêt est l'élément central des paysages alpins de moyenne montagne. On estime à 41 % la superficie des Alpes françaises couverte de forêts (contre 30 % à l'échelle nationale). Alors que certaines régions du monde connaissent une déforestation très inquiétante, Amazonie en tête, la forêt alpine continue à progresser, même si le réchauffement climatique est en train de changer sa physionomie. Source de bois-matériau et de bois-énergie, réserve de biodiversité, lieu de détente, puits de stockage de CO2, filtre d'eau potable, elle est aussi en montagne un paravent contre les éboulements et les avalanches.