Lexicon Devil, c'est un regard sur le LA underground des années 70 dont Darby Crash est l'image même, de son enfance à idolâtrer Bowie jusqu'à sa fin tragique, avec musique frénétique, drogue et mohican - ne dites surtout pas « crête ». Avec l'intervention de plus d'une centaine de protagonistes et cent quarante photos inédites, Lexicon Devil dépasse la genèse d'un courant musical mouvementé pour plonger dans les contrées obscures du suicide, du contrôle de la pensée, de la sexualité réprimée, de l'humour corrosif, de l'autodestruction et de l'addiction à la célébrité, aux drogues et aux cultes. À la fin des années 70, les pires petites frappes s'affrontent et se bousculent dans un Los Angeles en ébullition. Voici enfin les chapitres censurés d'un Hollywood babylonien survolté. Il aura fallu la rencontre inattendue de trois écrivains pour construire cet ouvrage étonnant. Auteur de We Got the Neutron Bomb, l'histoire du rock à L.A. dans les années 70, Brendan Mullen est également à l'origine du Masque, le sous-sol douteux où le punk de L.A. a vu le jour. Don Bolles a été le batteur des Germs, de Vox Pop, 45 Grave et Celebrity Skin ; à ses moments perdus, il souille les oreilles des ados sur les ondes de KXLU. Quant à Adam Parfrey, il est connu pour être le sociologue de l'apocalypse. Lire la suite Fermer

Vivant à l'écart de l'agitation et de la pression médiatique, PJ Harvey est pour beaucoup une énigme, une artiste à part dans le monde du rock, une artiste dont la seule véritable passion est la musique. A travers ses collaborations et ses amitiés avec des musiciens aussi talentueux que Nick Cave ou Tricky, elle a su tracer sa voie et imposer son style à une industrie du disque frileuse et intéressée davantage par le profit que par l'art. Certains avaient cru pouvoir la dompter en la couvrant de prix et de récompenses en tous genres, mais c'était sans compter l'indépendance quasi viscérale de la belle anglaise. Anticonformiste et insaisissable, PJ Harvey crée, explore, invente et réinvente même le blues. Polly Jean n'est jamais là où on l'attend et c'est sans doute comme cela qu'elle entretient la passion entre elle et ses fans. Cet ouvrage est une plongée dans l'univers de PJ Harvey : de son enfance dans le Dorset à son concert historique à la Tate Modern de Londres, il tente de retracer le parcours d'une artiste atypique et de mettre au jour les pans cachés de la vie d'une artiste aussi discrète que passionnante.
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Siouxsie & The Banshees furent les premiers fans de punk, refusant de se plier aux conventions machistes et musicalement basiques du mouvement. Élitistes et intenses, glamours et expérimentaux, ils entraînèrent avec eux des groupes post-punks tels que PiL et Joy Division, obsédés pervertis de la pop qui refusèrent de se laisser emprisonner dans un quelconque culte. Mais ils durent payer le prix de cette fidélité à leur indépendance.
Siouxsie & The Banshees - À travers le miroir révèle les innombrables drames cachés, les morts, les drogues, les guitaristes disparus, les liaisons illicites et les nombreux fiascos financiers que l'on retrouve dans leur musique si tendue. Si vous pensiez que les disques étaient " uptight ", lisez plutôt...

AC/DC est le groupe de hard-rock par excellence, car il est le seul à avoir poussé aussi loin (plus de quinze albums) et aussi longtemps (25 ans de carrière) la logique de cette musique, qui se veut un cocktail détonant de blues et de rock. Cette formation, qui a vu le jour en Australie au début des années 70, signe avec "High Voltage", son premier album, un véritable manifeste.
Leur ascension est foudroyante, du célébrissime "Let There Be Rock", à l'incontournable "Highway to Hell", qui les propulse aux premières places des grands groupes internationaux. Place qu'ils ne quitteront plus, malgré la mort, en 1980, de leur chanteur Bon Scott, dont le charisme a contribué à forger la mythologie AC/DC.
Tout au long des années 80 et 90, le groupe continuera à produire des albums au succès jamais démenti, fidèle à sa mission de départ : faire fondre le bitume de l'autoroute de l'Enfer.
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"Never Enough" décrit en détail la naissance d'albums marquants tels que "Pornography" et "Disintegration", les humeurs changeantes du leader de Cure et les événements qui ont entraîné le départ de Lol Tolhurst. Pour la première fois, Lol parle librement des débuts difficiles du groupe, de sa lente descente aux enfers et du procès contre Robert Smith qui lui a coûté un million de dollars. Voici enfin la première biographie exhaustive d'un groupe sans égal qui est loin d'avoir dit son dernier mot.

Le black metal est probablement la plus extrême de toutes les musiques, véritable démon dévorant ses adeptes. Cet ouvrage est une anthologie couvrant presque trente années de ce courant musical extrême, comprenant plusieurs centaines de pages de photographies et d'interviews des membres de : Venom, Mercyful Fate, Bathory, Hellhammer, Celtic Frost, Sodom, Slayer, Kreator, Destruction, Vulcano, Sarcofago, Blasphemy, Samael, Rotting Christ, Necromantia, VON, Tormentor, Master's Hammer, Gehenna, Gorgoroth, Trelldom, Cradle of Filth, Dimmu Borgir, Mütiilation, Vlad Tepes, Belketre et les Légions Noires, Dissection, Watain, Marduk, Funeral Mist, Shining, Graveland, Infernum, Behemoth, Enslaved, Satyricon, Isengard / Storm, Ulver, Windir, Negura Bunget, Hades, Primordial, Arcturus, Manes, In the Woods, Ved Buens Ende, Fleurety, Sigh, Dodheimsgard, Mysticum, Aborym, Blacklodge, Amesoeurs / Alcest, Fen, Wolves in the Throne Room et bien d'autres ! Constitué par des entretiens exclusifs avec les figures essentielles de ce genre musical, Black Metal L'Évolution du Culte est à ce jour le guide le plus complet sur cette forme fascinante et controversée du metal extrême. Par son ampleur et sa profondeur, cet ouvrage épique tient de l'encyclopédie. Des pionniers des années 80 à la renaissance explosive du genre en Scandinavie, sans oublier les rejetons les plus divers d'aujourd'hui, Black Metal se saisit du développement de ce mouvement musical in extenso. L'auteur, Dayal Patterson, a commencé sa carrière professionnelle en 2005, après avoir lancé son propre magazine musical, Crypt. Depuis lors, il contribue régulièrement à des publications comme Record Collector, The Quietus, Terrorizer, Decibel, Classic Rock Presents... et, surtout, le magazine Metal Hammer, pour lequel il écrit depuis 2006. Il a également participé aux notes d'albums de célèbres groupes, dont les pionniers du post-punk Killing Joke et les légendes du black metal Marduk. Lire la suite Fermer