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L'Archipel
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Tanya Lopert a côtoyé les plus grands acteurs, de Marlon Brando à Gérard Depardieu, en passant par Marilyn Monroe ou Elizabeth Taylor, et tourné avec les plus grands réalisateurs, de Fellini à Polanski. A 80 ans, elle revient sur sa carrière de comédienne « ratée », elle qui a attendu toute sa vie, en vain, le grand rôle qui ferait d'elle une star.
Tanya Lopert a connu l'âge d'or d'Hollywood, cette époque légendaire ou` tout était possible, où les jeunes filles pouvaient être repérées en mangeant une glace ou au bord d'une piscine. Mais, malgré une filmographie impressionnante, elle a attendu toute sa vie en vain le grand rôle qui ferait d'elle une star, à l'image de toutes celles qu'elle a côtoyées et dont elle dévoile nombr d'anecdotes de New York à Paris, en passant par Rome. Car nulle autre actrice n'a, à ce jour, connu à la fois Marlon Brando, Elizabeth Taylor, Marilyn Monroe, Burt Reynolds, Jane Fonda et Romy Schneider, Woody Allen, Jean-Louis Trintignant, Gérard Depardieu, ou encore le couple Montand-Signoret.
Cette « comédienne ratée » nous embarque dans un monde impitoyable où les rêves volent souvent en éclats. -
Evoquant sa vie, Marcel Azzola retrace l'histoire de trois générations d'accordéonistes ayant assuré le triomphe de la java et des Apaches rue de Lappe et ailleurs, et que chantait si bien Mouloudji. Il rend hommage aux premiers musiciens des guinguettes, Italiens ou Auvergnats, qui animaient les bals de famille et les bals de barrière.
Il se souvient des aînés (Gus Viseur, Tony Murena ou Jo Privat) qui ont poussé l'accordéon dans les bras du swing ; de Django Reinhardt et Stéphane Grappelli qui ont inventé le jazz à la française ; d'écrivains tels Mac Orlan ou Francis Carco, dont il a mis en musique les textes ; de ceux qu'il a accompagnés, les Montand, Bécaud, Brassens, Lemarque, Ferré, Gréco ou Barbara, qui ont permis à l'accordéon d'entrer au conservatoire.
Marcel Azzola, c'est également le compagnon de Jacques Brel. Ses improvisations sur la chanson « Vesoul » (1968) lui ont valu la célébrité, avec le fameux « Chauffe, Marcel, chauffe ! » Marcel Azzola, c'est enfin le « père » de la nouvelle génération, des Richard Galliano, Sergio Tomassi, Marc Perrone... Ses amis disent de cet éternel jeune homme qu'il est d'une modestie et d'une discrétion proprement effrayantes, ce à quoi il répond en souriant que son seul souci, dans la vie, est de ne pas déranger les gens.