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Dramaturges
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Écrire pour les jeunes publics ; une conquête de la liberté
Suzanne Lebeau
- Dramaturges
- 19 Août 2019
- 9782896371464
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La serre Concorde, c'est ce lieu abandonné, d'un million de mètres carrés, où les ados du quartier se réfugient, la nuit venue, pour fêter, pour vivre. Mais un an auparavant, une soirée a tourné au drame pour l'une d'entre elles, victime d'un guet-apens, disparue sans laisser de trace. On pense avoir aperçu son corps dans un puits au fond de la serre... Pour exorciser la culpabilité qui s'insinue comme une ombre dans leur banlieue, bourreaux et témoins de l'événement sont contraints d'y retourner. Et de nous raconter ce qui s'est vraiment passé. Véritable thriller choral librement inspiré du Décameron de Boccace, La serre Concorde est le récit d'une génération qui cherche à être du bon côté du monde.
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En 1864, Louis de Wittelsbach est couronné Louis II, roi de Bavière. À dix-neuf ans, en décalage avec son époque, cet héritier du trône, passionné d'art et de musique, devient mécène du compositeur Richard Wagner et, outrepassant ses devoirs, se bâtit de magnifiques châteaux. Admiratif de sa cousine l'impératrice Sissi, cependant fiancé à Sophie sa sur cadette, Louis est malgré ses obligations confronté à ses extravagances. Et à ses désirs pour Paul, son fidèle aide de camp. Sa sensibilité plonge alors le royaume dans un monde onirique et se heurte aux guerres à résoudre et à la politique du chancelier Bismarck. Pour ne pas perdre la tête comme son jeune frère Otto, tout juste revenu du champ de bataille, Louis se réfugie dans son château du Cygne.
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En crise donne la parole à une jeune fille qui se retrouve devant une ou un psy, à devoir expliquer pourquoi elle a récemment posé un geste violent envers elle-même. La pièce pose la question de l'expression saine ou malsaine de la colère chez les jeunes et fait état des ressources extérieures mais surtout des ressources intérieures que l'on possède pour apprendre à vivre mieux. En crise souhaite s'adresser au désir et au besoin de « réenchantement du monde » qui nous anime, peu importe notre âge et les possibles rides au coin de nos yeux qui ont sans doute beaucoup trop ri et beaucoup trop pleuré. Simultanément.
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Au début, il s'agit d'avoir un troisième cheveu.
Puis, de vouloir faire partie d'un groupe.
Il s'agit de dire son nom ou pas.
C'est l'histoire de Charlie parcourant la Savante, la Patalogie, les Zégos, à la recherche de son identité, rencontrant des djingpouites, des Wojas, des Koatitis.
C'est l'histoire de Charlie qui devient Charlie Souvage Padnon Zarb iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiyu. -
Quelques années après avoir fait la tournée des hôtels d'Asie avec un groupe de musique pour touristes, deux anciens amants se donnent rendez-vous dans un restaurant asiatique de Montréal.
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Premiere neige / first snow
Davey Anderson, Philippe Ducros, Linda Meclean
- Dramaturges
- 1 Janvier 2021
- 9782896371549
Au-dessus de leurs têtes, un corbeau plane. Le temps est incertain et pourtant tout est en place pour une réunion de famille mémorable. Isabelle a appelé les siens, disséminés au Québec, en Écosse et aux États-Unis. Avec eux, elle doit regarder l'avenir de front. Parler du patrimoine qui les relie. Du legs à laisser. Le sang coulera sans aucun doute sur le délicat tissu crocheté, posé au centre de la table ancestrale.
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La pièce se déroule sur les ruines d'une guerre qui n'a plus cours depuis des années mais qui laisse toutes les inquiétudes et les mémoires à fleur de rue. Une tour désaffectée, ancien repaire de tireurs d'élite, est la demeure de deux jeunes filles, héritage d'un temps qu'elles ne savent pas régler. La tour devient l'utopie artistique d'un DJ et de sa productrice pour jouer un grand soir underground. Aussi, des frères en route de vengeance zonent entre des solutions irrévocables.
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Dans cette comédie, on suit une immigrante marocaine dans la quarantaine, Jihane, docteure en anthropologie, qui peine à se trouver un emploi. Musulmane non voilée, elle se rend compte qu'elle est souvent considérée comme une minorité pas assez « visible » par les futurs employeurs.
En dernier recours, elle décide de mettre le voile pour passer une entrevue et se fait engager dans une compagnie de marketing sur le déclin. Elle se retrouve donc à assumer un voile qu'elle n'a jamais voulu défendre dans sa vie.
Le président de l'agence de marketing, Jeff, gai bitch sans filtre et en peine d'amour, en vient à vouloir utiliser les talents de Jihane et ses techniques de marketing pour reconquérir son ancien amant, Alexandre.
Ce dernier est un entrepreneur dans le vent, ayant une confiance de dragon aux dents longues. Alexandre va avoir besoin de l'équipe de marketing de Jeff pour le sauver du naufrage, car il a commis un impair dans une entrevue télévisée en faisant une blague de très mauvais goût sur les Arabes.
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Par un matin gris, Gregor, marchand de tissus, n'arrive pas à sortir du lit pour se rendre au travail. C'est que, pendant la nuit, le jeune homme s'est étrangement transformé en immense insecte. Malgré cet avatar auquel il tente de s'adapter, Gregor reste conscient et assiste donc aux efforts de communication de sa famille. Mais les trajectoires de ces tentatives, devant les imprévisibles sensibilités de chacun, deviennent de plus en plus évanescentes. Ses parents, sa soeur Greta, son associé et le nouveau locataire pourront-ils vivre avec cette mutation ? Comment envisager la nouvelle aube qui se lève sur des jours graves, qui doivent rompre avec les règles et les habitudes ? Face à l'impossible, devant l'absurde, qui sommes-nous ?
La métamorphose, l'oeuvre marquante de Franz Kafka, a déjà plus d'un siècle. Claude Poissant adapte ici pour la scène la nouvelle de l'auteur pragois, la resitue 50 ans plus tard, décalquant la force énigmatique du récit sur une fin de grande noirceur et un début de révolution tranquille.
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Le jour, Lou n'a pas peur de sa maison. Elle s'amuse dans sa chambre, dans le couloir et parfois même dans le salon. Mais elle ne s'aventure jamais dans l'escalier du sous-sol, trop inquiétant. Une nuit de pleine lune, un gros bruit la tire du sommeil. D'où vient-il ? Lou décide de quitter son lit et part à la découverte de sa maison, si différente dans le noir. Entre les tuyaux qui hoquettent et les marches qui craquent, elle affronte les ombres qui peuplent sa maison et son imagination. Elle arrive finalement devant cette porte, toujours fermée, qui mène au sous-sol. Tiraillée par la peur et la curiosité, l'ouvrira-t-elle ?
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Assemblage de courts textes (théâtre?/?poésie?/?prises de parole publiques) écrits entre 2016 et 2021, afin de prendre part à des projets collectifs, Polysémies ratisse large. Il offre une suite à Périphéries, qui donnait à découvrir de courts textes écrits entre 2012 et 2015. Commentés par l'autrice et illustrés par son complice Vincent Partel, la suite de ses «?b-sides?», comme elle se plaît à les nommer, mettent en lumière bon nombre de ses obsessions récurrentes, en plus de proposer certains fragments encore inédits.
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Au coeur d'un pays enseveli sous la neige habitent Bella et Marcus. Dehors, c'est l'hiver depuis trop longtemps. Fuyant la tempête qui les pourchasse, ils partent à la recherche du printemps, retrouvant peu à peu le courage de se reconstruire eux-mêmes une saison qui leur ressemble.
