Filtrer
Support
Langues
Prix
Floreal ROMERO
-
Murray Bookchin et l'écologie sociale libertaire
Vincent GERBER, Murray BOOKCHIN
- Le Passager Clandestin
- Les Precurseurs-ses De La Decroissance
- 22 Octobre 2019
- 9782369352341
Militant et essayiste libertaire, ouvrier syndiqué devenu historien des révolutions, Murray Bookchin (1921-2006) est l'un des premiers penseurs à intégrer la dimension sociale et politique à la question écologique. Pour lui, les rapports de domination engendrés par le capitalisme sont à l'origine de la crise environnementale.
La force de sa pensée réside dans la proposition du municipalisme libertaire, alternative démocratique à l'État-nation qui appelle au retour à la gestion humaine des affaires publiques et à la prise de décision collective.
Pour Vincent Gerber et Floréal Romero, le projet profondément humaniste de Bookchin offre des outils pour réinventer la démocratie directe et bâtir une société égalitaire et écologiste.
-
Agir ici et maintenant ; penser l'écologie sociale de Murray Bookchin
Floréal Romero
- Editions Du Commun
- 10 Octobre 2019
- 9791095630272
Agir ici et maintenant est un essai autant qu'un manifeste, une analyse personnelle de la pensée de Murray Bookchin. En guise d'amorce, Floréal Roméro dresse le portrait du fondateur de l'écologie sociale et du municipalisme libertaire. Il en fait son histoire, son évolution politique, pour la mettre en miroir avec les enjeux écologiques, sociaux et économiques actuels.
De l'Espagne au Rojava, en passant par le Chiapas, à partir d'exemples concrets, l'auteur lance un appel à la convergence des luttes et un cri d'espoir. Ce livre nous apporte des conseils pratiques pour sortir du capitalisme et ne pas se résigner face à l'effondrement qui vient.
-
Murray Bookchin pour une écologie sociale et radicale
Vincent Gerber
- Le Passager Clandestin
- Les Precurseurs-ses De La Decroissance
- 11 Octobre 2014
- 9782369350187
Pour Murray Bookchin (1921-2006), fondateur de l'écologie sociale, c'est au coeur même de nos institutions que se situent les causes de notre rapport destructeur à la nature. Les principes de domination induits par la « société de marché » ont fini par envahir tous les domaines de la vie, colonisant nos valeurs et nos modes de pensée. Le modèle économique du capitalisme est donc à condamner sans détours et sous toutes ses formes.
Mais la force de cette pensée réside surtout dans la proposition du « municipalisme libertaire » : un retour à une gestion à échelle humaine des affaires publiques. En instaurant la propriété communale des moyens de production, il s'agit de créer des espaces - ouverts sur l'extérieur -, où, en harmonie avec l'environnement, chacun, en prenant part aux décisions collectives, exprime pleinement son potentiel et ses aspirations.