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Prix
Amina Okada
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Ramayana illustré par les miniatures indiennes du XVIe au XIXe siècle
Amina Okada
- Diane De Selliers
- La Petite Collection
- 26 Septembre 2024
- 9782364371408
Clef de voûte de la culture indienne et récit à portée universelle, le Ramayana, épopée fondatrice de l'hindouisme, est enfin, grâce à cette édition en un volume, accessible à tous. Le Ramaya?a raconte la vie du prince Rama, avatar du dieu Vishnu. Sa profonde sagesse et sa force surnaturelle font de lui un héros légendaire vénéré en Inde. Ce chef-d'oeuvre littéraire est aussi le texte le plus illustré de la culture indienne.
Le texte
Clef de voûte de la culture indienne et récit à portée universelle, le Ramayana, épopée fondatrice de l'hindouisme, est enfin, grâce à cette édition en un volume, accessible à tous. Rédigé en sanscrit aux environs de notre ère, le Ramaya?a, attribué au poète Valmiki, raconte la vie du prince Rama, avatar du dieu Vishnu : exilé de son royaume, il mène une vie d'ascète dans la forêt, en compagnie de son frère Laksmana et de son épouse Sita. Cette dernière est enlevée par Ra?van?a, le roi des démons ; les deux princes, à la tête d'une armée composée de singes et d'ours, viennent à son secours au terme d'une guerre qui bouleverse l'équilibre du monde. Rama retoune finalement victorieux dans son royaume, où il est accueilli avec ferveur. Sa profonde sagesse, sa grandeur d'âme et sa force surnaturelle font de lui un héros légendaire vénéré en Inde et dans toute l'Asie du Sud-Est.
Diane de Selliers a oeuvré pendant plus de dix ans pour la diffusion de cette épopée védique, " premier poème " initialement composé de 48 000 vers. Avec cette version condensée et richement illustrée, l'éditrice favorise la rencontre des lecteurs avec ce texte poétique et philosophique qui l'a profondément marquée.
L'iconographie
Ce chef-d'oeuvre littéraire est aussi le texte le plus illustré de la culture indienne. Les 200 miniatures reproduites dans ce livre donnent à voir l'essence même de ce patrimoine artistique. Elles ont été choisies parmi le millier d'oeuvres qui avaient été identifiées par Diane de Selliers et son équipe au cours de dix années de recherche dans le monde entier et reproduites grâce à une campagne photographique d'envergure, menée en 2011.
Les commentaires
Les commentaires iconographiques d'Amina Taha Hussein-Okada, conservateur général du patrimoine, en charge des arts de l'Inde au musée national des arts asiatiques Guimet, guident le lecteur dans la narration. Ils offrent une compréhension profonde de l'art, de la culture, de la religion et des rites indiens.
-Prix du livre d'art, " La Nuit du Livre ", 2012
-Prix Hirayama, Académie des Inscriptions et des Belles lettres, 2012 -
Des peintures de l'Inde ancienne (avant le Ve siècle), ne subsistent que des descriptions littéraires. L'ensemble de peintures murales des grottes d'Ajanta (Ve-VIe s.), donne néanmoins une idée de ce qu'a pu être la peinture antérieure.
Cette tradition de la peinture indienne trouve un prolongement avec la miniature, d'abord dans les manuscrits de l'époque pâla (VIIIe-XIIe s.), puis dans la peinture jaïne du XIe au XVIIe siècle.
Avec l'Empire moghol, à partir de 1526, se développe une brillante école de peinture. Cet art moghol va faire la synthèse de l'influence persane et des styles indiens locaux.
L'empereur Akbar fait traduire et illustrer les grands textes de l'Inde brahmanique pour familiariser l'élite musulmane avec la culture des Hindous.
À côté de l'illustration des manuscrits historiques, l'iconographie privilégie les scènes de genre (batailles, chasses) et surtout le portrait qui va devenir le genre dominant au XVIIIe siècle.
Cette riche tradition picturale va connaître un lent déclin simultané à celui de l'Empire moghol et à la prise de pouvoir par les Britanniques au milieu du XIXe siècle.
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Les animaux magiques dans la peinture indienne
Amina Okada
- Circonflexe
- Aux Couleurs Du Monde
- 29 Septembre 2017
- 9782878339048
Formés d'un enchevêtrement de créatures réelles ou fantastiques, ingénieusement imbriquées les unes dans les autres, les animaux magiques témoignent de l'audacieuse fantaisie et de l'éblouissante virtuosité des peintres indiens.
L'origine de ces créations uniques en leur genre demeure incertaine, seule la mention « peinture magique », parfois apposée sur quelques pages tardives, vient rappeler l'impénétrable mystère qui enveloppe ces miniatures énigmatiques.
Plongez-vous dans l'Inde du xvie au xixe siècle, période durant laquelle le pays connaît un extraordinaire rayonnement artistique qui encourage les plus grands artistes de l'histoire de l'art indien à réaliser les chefs-d'oeuvre reproduits dans cet ouvrage.
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Murs sacrés du Kerala : peintures murales des temples et palais
Martine Chemana
- Cnrs
- 21 Novembre 1997
- 9782271054784
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L'âge d'or de l'Inde classique
Thierry Zéphir
- GALLIMARD
- Decouvertes Gallimard
- 22 Mars 2007
- 9782070341610
Au terme du premier grand empire de son histoire - celui des Maurya (fin IV&esup siècle-début IIe siècle av. J.-C.) -, l'Inde connaît, du Ier au IIIe siècle de notre ère, les puissants pouvoirs des Kushâna, au nord, et des Sâtavâhana, au sud. Mais c'est l'époque des empereurs gupta, du IVe au VIe siècle, qui marque l'apogée de la civilisation indienne classique. Amina Okada et Thierry Zéphir nous font découvrir cette époque de tolérance religieuse et de raffinement esthétique sans précédent. Sous ces souverains vishnuites, bouddhisme, hindouisme et jaïnisme coexistent en harmonie. Les sciences se développent, les traités esthétiques et techniques se fixent. La littérature et le théâtre rayonnent, servis par le génie du poète Kâlidâsa, que l'on associe au règne de Chandragupta II. L'art atteint alors ses plus hauts sommets, dont témoignent les grandioses sculptures de Mathurâ, les effigies altières et épurées des buddha et bodhisattva sculptés de Sârnâth ou les peintures murales d'Ajantâ, quintessence de l'esthétique gupta et expression majeure du génie indien. Ces canons plastiques et ces modèles iconographiques perdureront au fil des siècles. Leur écho s'étendra au-delà des frontières indiennes, du Népal à l'Asie du Sud-Est et de l'Afghanistan à l'Asie centrale.
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Le grand moghol et ses peintres - miniaturistes de l'inde aux xvi et xviiemes siecles
Amina Okada
- Flammarion
- 1 Novembre 1998
- 9782080109644
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Radjasthan ; terre des seigneurs
Fred Kohler
- Georges Naef
- Terres De Passion
- 26 Septembre 2008
- 9782831303789
Le Râjasthân est à n'en pas douter l'une des régions les plus fascinantes et les plus romantiques de l'Inde. Tissée d'exploits et de hauts faits glorieux, émaillée de légendes romanesques, son histoire fut au fil des siècles marquée au sceau de l'héroïsme et de la grandeur. Les Râjpoutes, descendants de lignées mythiques mais également illustres édifièrent des royaumes prospères dans les sables du désert, d'inexpugnables et farouches forteresses d'où s'élançaient à l'assaut de l'ennemi des hordes de guerriers indomptables. Autrefois berceau de la chevalerie, bastion de la spiritualité hindoue et de la résistance opiniâtre à l'envahisseur, le Râjasthân est de fait le Pays des Rois, la patrie par excellence des preux chevaliers et des braves épris de sacrifice et d'actions d'éclat. Héritiers des valeureux guerriers de jadis, les mâhârajas régnèrent avec un faste extravagant et une opulence souvent ostentatoire sur cette terre légendaire, contribuant par leur excès et leur pompe d'un autre âge à la fascination que suscitait, dans les imaginations occidentales, le Pays des Rois. A la grâce et à l'ornementation harmonieuse des palais et des demeures princières, qui éblouissaient les voyageurs d'antan et enchantent toujours le touriste d'aujourd'hui, répondent la beauté naturelle et la diversité géographique d'une région où alternent reliefs escarpés, forêts bruissantes, plaines et vallées verdoyantes, lacs aux eaux scintillantes créés par la main de l'homme. Haut lieu de l'hindouisme et du janaïsme depuis des temps immémoriaux, le Râjasthân accueille au rythme des fêtes et des commémorations religieuses des foules immenses de pèlerins et de dévots, unis par une commune ferveur et une commune piété. Peuple animé d'une foi profonde, mais également avide de réjouissances, de processions et de cortèges pittoresques, de festivités populaires, de parades féeriques au coeur d'une foule en liesse. Peuple éminemment artiste enfin, ce dont témoignent une tradition artistique plusieurs fois séculaire et un artisanat vivace et original. Dans cet ouvrage, vous allez découvrir les facettes les plus représentatives de cette contrée enchanteresse et incomparable quintessence même de l'Inde éternelle et fabuleuse à laquelle, les très belles photographies de Fred Kohler rendent un très juste et séduisant hommage. (Amina Okada)
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Juste avant de rentrer dans le parinirvâna -et ne plus jamais renaître-, le Bouddha raconte son histoire au jeune moine Ânanda, son cousin et disciple préféré.
Né en Inde au VIe siècle avant notre ère, le prince Siddhârtha mène une existence paisible jusqu'au jour où il fait quatre rencontres qui bouleversent sa vie. Résolu à percer le mystère de la condition humaine, le prince abandonne tout pour méditer et découvrir la vérité sur la douleur et les moyens de la supprimer. Ayant atteint l'Éveil et surmonté les tentations, celui qui est désormais le Bouddha (l'« Éveillé ») parcourt la vallée du Gange pour enseigner sa doctrine à des disciples de plus en plus nombreux...
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L'inde des princes ; la donation jean et krishnâ riboud
Amina Okada
- Rmn Éditions
- Tresors Du Musee Guimet
- 23 Décembre 2000
- 9782711841073
Constituée par cinquante-quatre objets s'échelonnant du XVIIème au XIXème siècle, et illustrant les arts princiers de l'Inde monghole, des sultanats du Deccan et des royaumes râjpouts, ainsi que par vingt bijoux provenant de l'Inde du Nord, la donation Jean et Krishnâ Riboud représente un inestimable enrichissement des collections indiennes du musée Guimet.
Cet ouvrage est une édition bilingue français/anglais.
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La Bhagavadgita illustrée par la peinture indienne
Marc Ballanfat
- Diane De Selliers
- 20 Octobre 2016
- 9782364370678
Le texte La Bhagavadgita, littéralement " Chant du Bienheureux ", est le passage le plus célèbre du Mahabharata - la grande épopée guerrière indienne composée vraisemblablement autour du IIe siècle avant notre ère. Composé de 18 chapitres, ce texte fondateur de la philosophie et de l'enseignement du yoga est centré sur le dialogue entre le guerrier Arjuna, assailli par le doute avant la bataille fratricide à laquelle il doit prendre part, et le dieu Krishna, qui se révèle à lui pour lui enseigner les valeurs du renoncement et de l'ascèse. Près de 100 chefs-d'oeuvre de l'Inde classique illustrent la Bhagavadgita et éclairent sa lecture et sa compréhension. Ils proviennent de prestigieuses collections muséales et privées : Dublin, San Diego, Philadelphie, Londres, Bénarès, Merhangar, Hyderabad, New Delhi.
La traduction La traduction de Marc Ballanfat s'appuie sur la grande édition indienne du texte sanscrit, accompagné de onze commentaires ( The Bhagavad-gita with eleven commentaries, The Gujarati Printing Press, Bombay, 1938).
Sa traduction, publiée initialement en 2007 aux Éditions Garnier-Flammarion, où elle a rencontré un franc succès, a été entièrement revue pour cette édition illustrée afin d'allier encore davantage rigueur scientifique, poésie, limpidité et plaisir de lecture. Son introduction " Le Chant du Bienheureux " explique la pluralité de la nature du texte, à la fois épique et sacré. Il le contextualise et nous apprend de quelle façon il a influencé les grands intellectuels et philosophes modernes, de Goethe, Hegel à Simone Weil et Gandhi. Enfin, sa postface " Yogarasa, la saveur du yoga " nous initie aux fondements de cette discipline corporelle et spirituelle.
Une iconographie somptueuse et choisie Près d'une centaine de miniatures indiennes illustrent le texte, elles en éclairent les passages clés ; le dialogue entre Arjuna et Krisna, les armées en ordre de bataille, l'être divin protéiforme Visvarupa, des figures d'ascètes. " Ainsi, guidé par le regard visionnaire des peintres, le lecteur de la Bhagavadgita sera-t-il en mesure d'associer, aux vers fulgurants du poème, les saisissantes et troublantes visions d'artistes inspirés " nous dit Amina Taha-Hussein Okada dans son introduction. Conservateur général au musée national des arts asiatiques-Guimet, elle accompagne chacune des miniatures d'un commentaire sur l'image, le texte et sa symbolique. Ces oeuvres proviennent des plus prestigieuses collections ; New-Delhi, Bénarès, Hyderabad, San Diego, Philadelphie, Dublin, Londres.
" Ainsi, guidé par le regard visionnaire des peintres, le lecteur de la Bhagavadgita sera-t-il en mesure d'associer, aux vers fulgurants du poème, les saisissantes et troublantes visions d'artistes inspirés. " Amina Taha-Hussein Okada Après l'audace du Ramayana En 2016, les Éditions Diane de Selliers proposent avec conviction en 2016 avec un ouvrage de grande ampleur sur la culture indienne, après le Ramayana de Valmiki illustré par les miniatures indiennes du XVIe au XIXe siècle paru en 2011 et unanimement salué par la critique. En 2012, ce livre de référence a reçu le prix Hirayama décerné par l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres.
" Que la Gita vous soit une mine de diamants, comme elle l'a été pour moi ; qu'elle soit toujours votre guide et ami sur le chemin de la vie. " Gandhi -
Amina TAHA HUSSEIN-OKADA, spécialiste de l'Inde moghole, a sélectionné un ensemble de miniatures des plus grands artistes de l'époque ; elles viennent, en regard du texte, illustrer avec justesse les descriptions enthousiastes de François Bernier. Ces peintures d'un style délicat et raffiné offrent une rétrospective de la vie de cour, de ses rituels et de ses plaisirs variés ; le lecteur découvre, grâce au talent minutieux des peintres des ateliers royaux, l'excellence artistique moghole.
Les séjours des empereurs moghols dans l'écrin verdoyant de la « vallée heureuse » furent prétexte à de rares oeuvres. Portraits de cour ou scènes villageoises s'inscrivent ainsi dans l'étrange beauté poétique des paysages lacustres et montagneux du Cachemire, que François Bernier révélait alors pour la première fois aux Européens. Ces oeuvres, rarement reproduites, proviennent de différents musées dans le monde.
Dans la tradition des collections du XVIIIe siècle, l'ouvrage organise, en marge du récit premier, une «conférence« des auteurs-voyageurs de l'époque par un ensemble de citations. Ainsi, Jean-Baptiste Tavernier, Jean Chardin, Niccolò Manucci,... viennent ici, en contrepoint du récit, apporter leurs observations de la vie indienne.
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Au cours des XVIIIe-XIXe siècles, s'épanouit en Inde du nord, dans la ville de Lucknow, une société composite, à la fois indienne et européenne, extraordinairement diversifiée et sophistiquée. Une cour royale en Inde :
Lucknow (XVIIIe-XIXe siècles) est la première exposition internationale d'envergure consacrée à la culture cosmopolite qui s'épanouit à la cour de Lucknow et à l'art raffiné auquel résidents et artistes de cette cité pluriethnique donnèrent naissance.
Ce livre de photographies fait écho à l'exposition "Art et Culture à Lucknow" (provenant du musée LACMA de Los Angeles) qui sera présentée au musée Guimet à Paris et qui sera constituée d'une vaste iconographie et riche de photos du XIXe siècle.
La série d'images de cette exposition a inspiré Antonio Martinelli proposant une exposition parallèle originale Lucknow Au miroir du temps un état des lieux photographique de la ville actuelle par la production d'une collection de photos contemporaines en noir et blanc.
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petite phrase
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Hoysala ; dieux de l'inde et beautés célestes
Gérard Degeorge
- Actes Sud
- Imprimerie Nationale
- 28 Septembre 2013
- 9782330019136
Moins fréquentés par les touristes que ceux de Khajurao, de Bubaneshwar ou de Konarak, les temples Hoysala du Karnataka, au sud de l'Inde, sont remarquables par l'exceptionnelle finesse de leurs bas-reliefs qui illustrent les récits du Ramayana et du Mahabharata. Parmi une centaine de temples, ceux de Belur, Halebid et Somnathpur, bientôt classés au patrimoine de l'Unesco, sont les plus célèbres.