Coups de coeur

  • Monument national

    Julia Deck

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  • Les vertueux

    Yasmina Khadra

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  • Le Festin

    Margaret Kennedy

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  • Madame Hayat

    Ahmet Altan

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  • Les oiseaux

    Tarjei Vesaas

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  • Trencadis

    Caroline Deyns

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  • Le dernier des siens

    Sibylle Grimbert

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  • Euphorie

    Elin Cullhed

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  • La nuit des pères

    Gaëlle Josse

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  • Pony

    R. J. Palacio

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    MOT DU LIBRAIRE

    Direction l'Ohio au 19 ème siècle pour une chevauchée à bride abattue au temps des grandes inventions, avec en toile de fond l'immensité de la nature sauvage américaine. Un grand roman d'aventures aux allures de western où l'on s'attache dès les premières pages à Silas, adolescent déterminé à retrouver son père enlevé par des hors-la-loi avec l'aide d'un marshal et surtout de son inséparable ami imaginaire Mittenwool. Une odyssée à l'image de celle de Télémaque (souvent cité) et le récit intime d'un enfant face au monde, uni par un lien magique avec son cheval. Rebondissements et émotions assurés jusqu'au dénouement bouleversant.

    A partir de 11 ans

  • Un pingouin à Trieste

    Chiara Carminati

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  • La foudre

    Pierric Bailly

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    MOT DU LIBRAIRE

     

    Territoire à la beauté rude, le Jura est la source intarissable d'inspiration des fictions de Pierrick Bailly qui sans effet de style, avec justesse, sensibilité et simplicité, raconte la vie de ceux qui y vivent à travers des portraits saisissants de réalisme. Des êtres qui agissent avec le cœur, laissant les sentiments guidés leurs actes au risque de se perdre. Une profonde humanité se dégage de ce roman où l'on observe touchés par leur sincérité, les personnages lier leur destin pour le meilleur et pour le pire.

     

       "Au collège, quand les premiers jours de l'année les profs nous demandaient quel travail on voulait faire plus tard, je ne répondais pas contrebandier mais plus modestement berger. Une fois, un prof a lu ma petite fiche à voix haute, et il a ajouté : 'Un beau métier, berger, mais il va falloir trouver autre chose, parce que ça n'existe plus.'

       Ça serait marrant qu'il vienne pleurnicher ici avec sa gourde vide, celui-là.

       Il aurait du mal à me reconnaître derrière ma barbe et sous mon gros bonnet."

     

     

  • Un oiseau juste là

    Emilie Chazerand, Marie Leghima

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  • Pas bêtes, les plantes !

    Philippe Nessmann, Jean Mallard

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  • Mira à l'école des grands

    Stina Klintberg, David Henson

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  • Sur les traces de l'ours

    Magali Bardos

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  • Pétouille cosmique

    Séverine Vidal, Ronan Badel

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  • Au bout du monde

    Anna Desnitskaya

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  • Veiller sur elle

    Jean-Baptiste Andrea

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    MOT DU LIBRAIRE

    Un souffle épique puissant traverse sans faiblir ce roman d'amour flamboyant qui explore avec beaucoup de sensibilité les thèmes de l'enfance et de l'amitié,  et les expériences humaines fortes. Sous sa plume très cinématographique, Jean-Baptiste Andrea fait naître des tableaux à l'atmosphère intense où évoluent des personnages à la vitalité incroyable. Des vies traversées par l'art, omniprésent.

    « Il Francese. J'ai toujours détesté ce surnom, même si l'on m'en a donné de bien pires. Toutes mes joies, tous mes drames sont d'Italie. Je viens d'une terre où la beauté est toujours aux abois. Qu'elle s'endorme cinq minutes, la laideur l'égorgera sans pitié. Les génies naissent ici comme de mauvaises herbes. On chante comme on tue, on dessine comme on trompe, on fait pisser les chien sur les murs des églises. Ce n'est pas pour rien qu'un italien, Mercalli, donna son nom à une échelle de destruction, celle de l'intensité des tremblements de terre. Une main démolit ce que l'autre a bâti, et l'émotion est la même.

    L'Italie, royaume de marbre et d'ordures. Mon pays. »

  • Je souhaite seulement que tu fasses quelque chose de toi

    Hollie Mcnish

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    Hollie McNish et ses soeurs de plume : Maggie Nelson, Kae Tempest, Diglee

    Texte hybride mêlant récit et poèmes. Hollie McNish nous offre un moment de lecture touchant, drôle, intelligent, poétique, sans tabou avec une langue  fleurie, sensible, et une spontanéité réjouissante.

    Elle évoque sa complicité avec sa grand-mère, les turbulences de l'adolescence, la sexualité dont elle parlait beaucoup avec sa grand-mère comme dans ce livre, le genre. Un texte très contemporain dans la lignée des écrits de Diglee, Maggie Neson, Kae Tempest.

  • Okavango

    Caryl Férey

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  • J'ai 8 ans et je m'appelle Jean Rochefort

    Adèle Fugère

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  • Le vieil incendie

    Elisa Shua Dusapin

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  • Une façon d'aimer

    Dominique Barbéris

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    MOT DU LIBRAIRE

    Dominique Barbéris a l'art de donner de l'éclat aux vies muettes et de tisser des histoires de rencontres fugitives où la tension monte imperceptiblement.

    De Nantes à Douala, au temps du protectorat français, elle dresse un superbe portrait de femme discrète, silencieuse et secrète dont le passé surgit des années plus tard des archives familiales. Explorant les thèmes du hasard des rencontres et de la transgression, elle saisit à merveille le trouble naissant et confère à son personnage une part de mystère à laquelle fait écho l'atmosphère camerounaise.

     

    « Peut-être que le silence est une façon d'aimer . »

    « Sophie a reconstitué une partie de ce qui s'est passé. Il y a des trous bien sûr ; plus de témoins. La mort elle-même fait un trou terrible. Et ma tante n'est pas du genre à se confier, par nature. C'était de sa génération, ce silence ; une question d'éducation.

    Mon père aimait Douala, m'a dit Sophie, il était attaché à ce passé ; il me racontait des souvenirs ; ma mère, très peu. Elle n'a rien laissé. Sauf ce qui est dans cette enveloppe […] Elle était belle et timide. Mon père l'aimait comme ça.

    - Je pense, a dit lentement Sophie, que mon père l'aimait sans mesure.

    Nous avons laissé le mot retomber en nous ; il nous coupait le souffle. Soudain, Sophie a continué : il lui a pardonné. Il lui pardonnait tout ; c'est souvent comme ça dans les couples. Il y en a un qui pardonne et qui accepte. En même temps, si on devait dramatiser ce genre d'histoires (elle a souri) tout le monde se séparerait. Tu ne crois pas que nous avons toutes nos secrets ? »

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